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Labé : l’hôpital régional aurait-il besoin de plus de sécurité ?

L’Hôpital  régional  de  Labé  connait  depuis plusieurs  années bien  de  changements positifs et  pourtant  il  y  reste  encore  des choses à améliorer, c’est  le  cas  de  la  sécurisation  des  lieux.

A  ce  jour, il y a  trois  gardiens  pour  toute  l’institution  sanitaire  régionale et  des  chiens  errants moutons  et  chèvres et  autres  fous  en  quête  de  restes  alimentaires parviennent à  tromper  a vigilance des  vigiles  pour  accéder à l’intérieur très  souvent.

Saisi  sur  la  question, le  responsable  du  trio  de  vigiles, Samba  Diallo s’est  ouvert  à  notre  rédaction :

« la  sécurisation de  l’hôpital régional de  Labé  est  très  simple nous  sommes  au  nombre  de  trois  gardiens, la  journée  nous  sommes  trois  et  la  nuit  deux, le  troisième  rentre  pour  se  reposer et  revient  nous  renforcer  le  matin…

Comme  partout , il y a  des  difficultés mais  nous  nos  difficultés  sont  crées par les visiteurs  parce  qu’ils  ne  veulent  pas  respecter  les  horaires de  8 h  à 14  h  que la  direction  nous  a  instruites…

Pour  les  cas  de  vol, s’il  y en  a  ,ça  doit  être le  dimanche à nos  heures  de  repos. »

Un  sondage réalisé  prêt  des  usagers  nous  a  permis aussi  de  relever  certains  griefs que  les citoyens  ont  vis  à  vis de l’hôpital  régional de  Labé, c’est  notamment  le  mauvis  accueil  que  les  vigiles réservent  aux  visiteurs  qu’ils  injurient  parfois, la hausse  unilatérale du  prix  des  services  par  les  équipes  de  nuit et  surtout  l’absence  d’un  titulaire  pour  les  cas  d’urgence.

A LIRE =>  Labé_Les citoyens spéculent sur le monument érigé au siège de la préfecture

Aussi,  les  autorités  administratives  doivent  interférer pour que les  taxis  motos  qui  ont élu  domicile  à l’entrée  de  l’hôpital puisse   changer  de  domicile  mais  aussi qu’aucune caravane  de  promotion  bruyante  n’emprunte  cet  axe  désormais  pour  la quiétude  des  patients  en  traitement  dans  l’institution.

                                                                                                                                      Ousmane K. Tounkara

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