Dans l’arène de la propagande hardie,
N’zérekoré dansait pour un rêve maudit,
Ignorant le danger leurs pas ont croisé la perfidie,
Et beaucoup ont perdu leurs vies dans cet incendie.
N’zérékoré pleure à cause d’un tournoi qui finit par une tragédie,
Le sang des jeunes innocents se mêle à l’oubli,
Et le destin s’écrit en lettre de tragédie,
Dans un pays ou les gouvernants n’ont aucune empathie.
Tant des rêves brisés, au pied d’une tragédie,
Des parents pleurent les leurs dans une harmonie,
Ils ont perdu leurs enfants dans une euphorie,
Organisé sous le souffle d’une comédie
Oh ! Mamady Quesque toi tu en dis,
Par rapport à tous ces morts qui résonnent hardi,
Tes promesses te hantent et leurs âmes te maudissent
Car les mouvements de soutien, tu les avais interdits.
Bailo Bah Kouraba, jeune de l’axe