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La castration : quel avenir pour  les cheptels d’élevage  au Fouta Djallon

Connu pour être  une terre d’élevage, le Fouta Djallon est le premier pourvoyeur national de viande de boucherie, cependant une pratique  qui est venue progressivement venue se greffer aux moeurs des éleveurs  notamment la castration animale dicte qu’on s’interroge sur l’avenir du bétail dans les années à venir.

Vétérinaire expérience, le docteur Khalifa Diallo nous a expliqué que la castration, de façon  générale  a une double visée:

Génétique  et sanitaire.Expliquant que dans un lot de mâles une sélection  est faite poir retenir ceux qui doivent perpétuer  l’espèce et les autres seront castrer pour faire de embonpoint dans un but commercial et e économique.

Dr Malal Baldé, lui est le directeur regional des services d’élevage, il estime qu’il n ‘y a oas de conséquences  dommageables  à la castration mais oriente son raisonnement vers la divagation animale:

<<on n’est éleveur que quand on s’occupe de son cheptel, voir les veterinaires quant il s’agit de la castration…>>

Le DRSE a aussi insisté  sur la nécessité  de proteger les cheptels en requérant le service des vétérinaires et en précisant qu’en raison de la vaccination animale 210.000 vaccins sont à disposition contre la peste des petits ruminants  à raison de 2000 francs le vaccin pour une bête.

A LIRE =>  Sénégal: la Coopérative Agricole Intelligente en Afrique et le GOHA International unissent leurs forces pour le développement de l’agriculture 

Ousmane K. Tounkara

 

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