En ce 20 mars consacré journée internationale de la francophonie, l’occasion est opportune pour faire l’état des lieux de la langue française que la France partage avec d’autres pays comme la Belgique ou le Canada et ses anciennes colonies d’Afrique et d’Asie.
Pendant qu le Français subit la concurrences de langues comme l’Anglais, l’Arabe ou le chinois ce sont ces pays sus-cités qui l’aident à garder le cap.
A l’occasion de cette journée certains intellectuels ont livré le fond de leur pensée.
Diallo Ousmane Bailo est proviseur du lycée Hoggo Mbouro ex 2 Aout de Labé lui il salue les efforts de l’OIF sur le terrain :
« nous voyons combien de fois elle s’implique, cette organisation se déploie au niveau de tous les pays relevant de l’organisation dans la gestion des crises dan les pays francophones et de l’organisation des élections et dans le financement de beaucoup de projets…Malheureusement nous on entend seulement ici que c’est la JMF, elle devrait être célébrée dan tous les pays francophones »
Autre intellectuel qui a partagé son avis sur la question, Samba Diallo ex proviseur du lycée Wouro qu’il vient de sevrer après 40 ans de loyaux services :
« dommage que nous soyons colonisés par la France près de 60 ans et que nous puissions pas être en phase avec les nouvelles informations par rapport à notre langue mère aujourd’hui parce que l’anglais vient tout juste s’ajouter à la langue de colonisation… Je crois que l’état en rapport avec la France et l’ambassade de France devraient tenter ne serait ce qu’au niveau national comme on parle de Conakry capitale mondiale du livre on devait aussi parler de français parce que c’est la langue de Molière que nous avons subi depuis belle lurette. »
Pour rappel la célébration de cette journée tire son origine dans la date du 20 mars 1970qui marque la naissance de l’ACCT au Niger cette agence qui deviendra plus tard l’OIF que pilote la canadienne Michaelle Jean de nos jours.
Ousmane K Tounkara