
Les derniers mots de Foniké Menguè au juge :
«Monsieur le président, j’espère que vous avez compris que je suis victime d’un acharnement. Cet acharnement m’a valu trois kidnapping… Moi, je défends la loi, je veux que vous jugiez cette affaire par le droit, rien que sur le droit. N’oubliez pas que vous serez jugé par le tribunal de l’histoire, que vous allez mourir et faire face à votre créateur. Quoi qu’il en soit, si défendre la loi constitue une infraction, je suis prêt à me battre jusqu’à mon dernier souffle.»
«Monsieur le président, j’espère que vous avez compris que je suis victime d’un acharnement. Cet acharnement m’a valu trois kidnapping… Moi, je défends la loi, je veux que vous jugiez cette affaire par le droit, rien que sur le droit. N’oubliez pas que vous serez jugé par le tribunal de l’histoire, que vous allez mourir et faire face à votre créateur. Quoi qu’il en soit, si défendre la loi constitue une infraction, je suis prêt à me battre jusqu’à mon dernier souffle.»