Haali Pular: El hadj Alseny Barry encense son rival
Alors que le remplacement du défunt El hadj Ousmane Baldé à la tête de la coordination Haal pular a servi aux citoyens un spectacle dont ils auraient pu se passer, certains non-dits émergent progressivement.
Actuellement, El hadj Ibrahima Diallo ‘’Anatole’’ président par intérim se dit victime d’un coup d’état orchestré par ceux dont le seul intérêt est le lucre et El hadj Alseny Barry a été investi par une frange des faiseurs de roi achevant de diviser en deux factions la coordination.
Interrogé par une certaine presse dans la journée du mercredi, le tout nouveau président de la coordination nationale Haal pular a peint le pouls de ses émotions et profité de l’aubaine pour faire une belle peinture de son adversaire.
« Il y a de la joie et de la tristesse. La tristesse, c’est le décès d’El hadj Ousmane, la joie, c’est la confiance investie en ,oi pour assumer un poste si cher aux Haal pular. C’est une position énorme et difficile même s’il est possible d’y faire face par le soutien et l’apport de tous. Il faut être juste et sincère, être moins avide et envieux, ça ira. Moi je me bats encore pour subvenir à mes besoins, alors, que chacun revienne tenir son poste, je ne suis venu chasser personne mai juste rajouter mon expérience à celle des autres pour ce qu’il y a de mieux des Haal pular… »
El hadj Alseny Barry a aussi eu une pensée positive pour EL hadj Ibrahim vice président de la coordination et dont les textes mettaient en avance pour briguer la fonction.
« Son poste de vice président lui revient encore et si je voyage, il lui revient d’assumer l’intérim et de réunir les gens, c’est une personnalité que je respecte et c’est réciproque, je suis heureux de son discours dans lequel, il dit que certains veulent l’évincer, il n’a pas voulu m’indexer, je crois que c’est un signe de respect.
Qu’il revienne tenir son poste, c’est lui qui y a un travail à faire pas moi, dans la société chacun à son rôle, c’est un technicien, un intellectuel et moi je ne suis pas encore à la retraite. Il connait son travail. »
Tkillah Tounkara
