
Le bureau guinéen des droits d’auteur a à l’heure qu’il fait une représentation dans toutes régions administratives et cette dernière s’occupe de recouvrir le dû issu de l’usage de l’oeuvre des artistes.
Yero Bente Baldé directeur régional du BGDA estime que le travail évolue quasi normalement mis à part quelques difficultés mineures.
Le technicien estime que ceux qui sont concernés sont: Les hôtels, les motels, les clubs de nuit, les salons de coiffure, les vidéos clubs, les bars cafés avec une fourchette oscillant entre 25.000.000 et 300.000 francs guinéens.
À la question de savoir si les préfectures ont des directeurs actifs, Yerim Baldé a répondu par la négative estimant que sous le magistère du professeur Alpha Condé, ses gens adjoints étaient en hibernation.
Les activités commencent à revivre estime Yero B.Baldé qui affirme avoir repris contact avec eux en attendant un signe du département de tutelle pour relancer le recouvrement au profit des artistes.
Au plan des difficultés, le directeur régional du BGDA parle de l’absence d’un engin pour circuler et couvrir les zones imposables et du manque de collaboration de certains usagers pour qui il faut passer par leurs proches pour les convaincre après beaucoup de bruits quand ce n’est pas la gendarmerie qui intervient.
Tkillah Tounkara