A LA UNELibre Opinion

Une véritable définition de l’être humain [Par Amadou Lelouma Camara]

La plus grande mission du Sauveur, ce fut la neutralisation ou l’affaiblissement des jugements absurdes, des illusions et des aberrations que tenaillaient l’être humain dans un monde où des grandes idées sataniques, ces carences sagesses et de connaissances des lois de la justice et la verité, faisaient ravages. En divisant ces êtres humains principalement en deux groupes, un premier groupe, celui des âmes avertis ou conscients, demeure le plus admis et orienté dans cette intervention indirecte du Seigneur de l’Univers dans la vie terrestre des Fils d’Adam. Quant à eux, tous ces écrits s’avèrent autant sublimes, qu’un individu comme les autres, seulement animé d’une seule confiance en la majesté du Créateur, réussit à parler ou à écrire ce qui n’était pas attendu d’un être humain aujourd’hui. Ils sont autant ainsi réconfortés dans leurs fois et croyances dans un monde où  ces vertus tendaient à disparaître. En verité, la foi et la croyance n’existaient plus presque sur terre, quoique beaucoup s’y adonnaient à la connaissance des livres saints dans une telle régularité dans les maisons de cultes ou dans les différentes cérémonies. La foi et la croyance demeuraient sur le point de disparaitre,  lorsque le Tout-Puissant poussa, sans par le biais d’un  message un être humain à la restauration des valeurs ou des vertus divines. Tel fut alors mon soulèvement, parce que, m’était-ce admissible, que, même les êtres humains les plus vus et plus adonnés, comme les imans, les membres des maisons de cultes les croyants et les arabes, agissent d’une manière non plus adéquate quant à la sauvegarde de la foi et de la croyance, pourtant héritées des Grands Prophètes et Messagers de l’Histoire. Ainsi,  ai-je réussi à faire la verité aux yeux de tout le monde et à découvrir des réalités de l’’existence de Dieu à travers des découvertes et des découvertes. A ce niveau, des illusions ou des aberrations sont égarées, au point que les Fils d’Adam ont suffisamment compris Dieu comme Créateur des cieux et des terres. Le deuxième groupe est celui des âmes pervers, les êtres humains qui sont vraiment en défaillance dans leurs créations internes. Pourtant, les Prophètes,  comme le Sublime Mohamed, avaient recommandés si bien aux êtres humains les bonnes marches sur l’itineraire de la justice, de la foi et de la croyance. Mais, ces messages n’ayant été bien conçus, voila apparaissent des êtres humains en pannes,  sans conscience, moralité et mentalité, trouvant cette terre qu’un endroit d’assouvissement des besoins mondains,  considérant ainsi Dieu qu’un étranger, un  non ayant droit dans leurs vies. En verité, ils demeurent nombreux sur la face de la terre, ceux qui ont substitué les relations sociales aux relations du corps ou charnelles, sans pourtant rien mystifier sinon leur existence du monde dans une vie si mondaine. Voila  comment s’exhibent ainsi nos différentes sociétés, dans laquelle l’on est dépourvu de cette nature et qualité vraie de l’être humain. Ce nouveau document vise ces manières négatives de ces êtres humains dont l’existence n’est point solide dans cette vie. Chacun de ses paragraphes dans les dernières parties confèrent une signification,  contenant certains conseils et suggestions de la vie. Certainement, pour mieux réussir l’existence sociale et l’avenir des deux mondes, faut-il cheminer innocemment sur cette terre de Dieu, autour de la justice et de la verité ; car, sans cela, l’on sera indubitablement réduit à néant, au point que l’on y mènera toutes vies ambigües.

Rien n’est solide que la justice dans une société. Et, même si les membres ne sont pas traités des mêmes faveurs ou des mêmes récompenses réciproques aux rendements donnés,  mais, que chacun pusse faire face efficacement à la satisfaction des besoins. Que l’on stimule ainsi les travailleurs, et ce, mêmes pas les rendre supérieur, qu’ils trouvent aussi évidente et capable de surmonter les plus parts des besoins. Certes, tout le monde ne peut se jouir des mêmes droits ou des mêmes opportunités ou faveurs, vu certaines proximités et certaines responsabilités, mais, que chacun pusse se satisfaire soi-même sans mendicité ou injustice dans cette société. Au naturel, certaines suffisances mettent en cause certaines injustices, et rendent le genre humain plus innocent et hardi. Consommer ce qui est injuste, ne pas rendre, comme cela se doit, parfait son travail,  et, malgré tout,  en disposer  des mérites ou des récompenses, c’est une grande injustice, que rien n’en sera apprécié par le Seigneur de l’univers.

 

 

 

 

UNE VERITABLE DEFINITION DE L’ETRE HUMAIN.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Des mêmes existences terrestres ou des mêmes caractéristiques de vivre, comme de se produire,  de loger, de subvenir aux besoins vitaux, et voire des mêmes caractéristiques physiques, quant aux différentes parties du corps, tous les êtres humains de la terre, depuis des premiers temps, sont engendrés de ces deux premiers êtres humains, Adam et Hawaï, tous les deux engendrés par le Sublime Créateur de l’univers, le maître des Cieux et des terres.  Les êtres humains, des reproductions multiples, se multiplièrent ainsi jusqu’à ce que Allah les dispersa à travers la terre, avec justice et verité, en fixant ainsi à chaque partie du monde son sort terrestre, et ce, jusqu’à ce que, des siècles ou des millénaires passés, des peuples de la terre, se sont liés et approchés en destin et même mode de vie terrestre. C’est Dieu, Lui le propriétaire de la terre et des cieux, qui manifeste sa puissance de reproduction sur les êtres humains, et surtout sa puissance de rapprochement et de protection quant à la sauvegarde de toutes les créatures terrestres et célestes. Ainsi, D’Adam et d’Eve, Dieu a béni cette nature humaine dans sa reproduction ou dans son existence terrestre, nonobstant les circonstances calamiteuses et meurtrières, au point que, si ce n’était pas de Ses veritables miséricordes, tout aurait fini sur terre. Mais, malgré l’emprise des choses sataniques destructrices de la terre, Dieu a pu gérer et sauvegarder cette existence humaine dans ses différents temps d’existences en conférant à chaque génération humaine ses qualités et ses traces justement définis dans le veritable calendrier naturel des destins. Est-ce pourquoi, à chaque siècle ou à chaque espace de temps, les êtres humains se sont aperçus sortis indemnes des mystères des vies terrestres et se sont orientés sur le devant des itinéraires d’avenirs. C’est ce qui approuve certainement que le Créateur de l’univers a bien défini la fin de ce monde dans une  parfaite fixation mystique. Cette date de la fin du monde s’avère être bien mystique, au point que, est-ce grâce à elle, que les êtres humains d’aujourd’hui,  aux qualités pervers ou dépourvus de sagesses saines pour la nature humaine,   se sont aperçus biens existants et locataires de la terre et de ses constituants. C’est ce qui atteste que, si était-ce la fin des êtres humains qui s’avéraient être la fin de l’univers et de ses constituants, cette fin du monde aurait été la bienvenue. Mais, cette fin du monde, est-ce vraiment la fin de l’ensemble des contenus  de l’univers, quant aux contenus de la terre et des cieux. Dieu, le Créateur de la terre et des cieux, C’est Lui qui a conféré à chaque créature ou création son rôle ou fonction naturelle sublime et mystique, au point que, chacune d’elle  se manifeste sans interruption dans sa destinée ou existences, sans pourtant  moindre disfonctionnement ou arrêt. Dieu trôna le genre humain sur cette vie terrestre, et l’y a fait principal meneur des sorts. IL lui a rendu mystique les temps de la vie et lui a rendu souverain dans ses différentes métamorphoses spirituelles, quoique l’intervention des prophètes et des messagers fussent de veritables piliers de la réussite et de la sauvegarde de l’existence et de la destinée humaine terrestre. Chaque temps lui défini, qu’il s’y véhicule justement ; c’est ce qui fait que les premiers êtres humains du temps du monde s’avéraient plus innocents, qu’il regorgeait les êtres humains plus innocents que mauvais. Les temps s’engendrant, et quoique  certaines différences, notre temps s’est annoncé fort différentes quant la disparition des veritables natures humaines. Les êtres humains, à dire vrai, ne demeurent plus ceux qui répondent aux veritables natures des deux premiers humains, nos ancêtres Adam et Eve, ceux aux qualités du cœur et d’esprit parfaites, sans aucune défaillance. Mais, ceux d’aujourd’hui, aux cœurs et esprits pervers, avec veritables carences des traces de la sagesse, de la bonne moralité, de la mentalité, de la conscience, ne cheminent vraiment pas sur les meilleurs angles de la réussite spirituelle. Et, pourtant, on le réitère, l’être humain ne demeure que commander que de ces deux organes mystiques, qui, mal conçues, ou dénaturés, confèrent à l’ensemble du corps humain, une fonction digne, innocent et noble.  Ainsi, réussissant à les bien assainir ou les bien engendrer, toutes les emprises du mal s’amoindriront. Le cœur, est un endroit de vœux, de création de volonté ou toutes autres sortes de manifestations humaines. De ce fait, un cœur sain et bien pur,  s’orientera vers le chemin de l’innocence. Le cœur d’un homme pur et innocent, n’est pas pourtant dépourvu de courage, de motivation ou de fameuse résistance. C’est ce qui veut dire que l’on peut si bien être innocent, et aussi bien, pratiquer des actions décisives pour l’accomplissent innocent de tel vœux admissible, contraires aux interdits de Dieu : tout être humain, est tenu naturellement dans l’accomplissement de toutes actions sociales. Toutefois, le meilleur cœur est celui qui pousse vers les pratiques des actions  justes et innocentes,  selon tout veritable itineraire choisi par le Créateur de la justice et de la verité. Le mauvais cœur est celui qui s’active, ou qui s’épouvante ou s’enhardit au-devant des actions terribles. Ce type de cœur contient des parties qui s’excitent sans aucun retour vers les pratiques abominables. Les cœurs des meurtries  ou des malfaiteurs disposent des veritables piliers qui ne se tordent ou se brisent pas, qui vibrent, se resserrent ou qui suscitent sans tarder à  tout mauvais résultat. Parce que, c’est une terre où l’on a planté des arbres aux fruits amers. Lorsque le cœur demeure ainsi innocent, selon sa parfaite existence naturelle, voila, il devient prudent, et, aucunement, ils ne deviennent esclaves de ce que le cerveau cherche et envoie : tel demeure le cœur  des innocents. Les cœurs des innocents ou de ceux qui se sont résolus consciencieusement à l’éviction de tout genre du mal, ne demeurent aucunement sujets de certains terribles envoutements et emportements. Au-devant de tout mal, le cœur d’un innocent ne s’active pas rapidement, et ce, quoique des visions  deviennent importantes. Au contraire, lorsque l’on est coupable, le cœur s’activera et accueillera avec vivacité les circonstances sataniques. Ainsi, cette partie mystique demeure tout veritable endroit de l’innocence et de la culpabilité, ou encore de bons vœux et de mauvais vœux. Au naturel, il devait être naturellement  et principalement le moteur de l’innocence et de la de la décence humaine. Mais, l’humanité dans toutes vies de mésaventures terrestres,  au detriment des lois divines, surtout à toute liaison aux emprises sataniques, voila s’est aperçu perdu  les mystères de ces organes ne s’élevant qu’à l’alentour des choses du mal, toujours prêt à se manifester sur tout trajet horrible de la vie. Est-ce le mal création du cœur et de l’esprit, ou leur mauvais développement à travers des mauvaises adaptations ou éducations qui, avec l’emprise des existences extra-religieuses, sous l’impulsion des choses mondains qu’a résulté cette génération adultère, dont la vivacité tourne des terribles convoitises ou engouements liés aux pratiques charnels. C’est ce qui s’avère être autant austère à être évincer, sinon par prohibition des faits ignobles, ou par fameuses interventions divines. Toutefois, des créations impures, des éducations nonchalantes et pervers,  les êtres humains se trouvent intérieurement incapable à se prémunir aux pratiques ignobles ou abominables, que leurs organes internes ou externes, ne les freinent aucunement à rabaisser des choses contraires à la vie innocente et digne. Ainsi, ces deux organes s’avérant être moteurs de fonctionnement internes de l’être humain,  la pratique des actions de bien ou des actions du mal, s’avèrent tout à fait volontaire : c’est ce qui témoigne que les fils d’Adam ne sont bons, mauvais, justes ou autres, qu’à travers les emprises du cœur et de l’esprit. Ils peuvent prendre de multiples aspects, selon les différentes adaptations des choses de la vie. Le vœu, est-ce ainsi une chose dépendant quasiment du cœur, au point que l’être humain devient sujet de plusieurs tentations. Certains vœux pervers de fois ou dissimulés puissent exposer l’Homme aux fatals emportements des choses odieuses de la vie, aux emprises des pouvoirs maléfiques maléfiques. Toutefois, lorsque le cœur et l’esprit sont emportés d’un vœux, d’un désir ou d’une cause, ils demeurent sujets de toutes emprises extérieurs, sans aucun discernement ; l’être humain en devient ainsi invulnérable, au point que toutes les emprises sataniques l’envoûtent ; celui qui dispose ainsi d’un amour dissimulé d’une chose, celui qui ne trouve de mal en une chose, ou celui qui ne s’est pas empêché quant à la pratique d’un mal, en devient ainsi quasiment sujet à toutes manifestations externes. C’est ce qui montre que le meilleur cœur, ou le meilleur état du cœur, est celui au sein de lequel n’existe des mauvais aspects dissimulés, sinon des forces d’évictions ou d’éloignement, des mépris aux choses infâmes, sans aucune envie ou convoitise ; mais le cœur des mondains s’activent se manifestent sans défense, avec accueil, à toutes tentations sataniques. L’irritation ou la colère n’est pas un défaut du cœur, ainsi que la stimulation, ou la concentration ; mais est-ce la direction, l’orientation ou la semence ou le fond qui se distingue, que les cœurs des mauvais sont enveloppés, qui ne s’accroissent qu’à la mauvaise manifestation ; mais le cœur des bons s’activent bien évidemment, mais qu’à l’exécution décente, sans arrêt ou dissuasions, des bonnes activités de la vie. Le cœur se métamorphose et peut prendre plusieurs aspects par rapport aux faits ou à la situation, ou à travers des personnes. Ils peuvent réserver une position unique, tout comme une position différente, à travers plusieurs personnes ou plusieurs faits. Et, surtout, concernant les innocents, ceux qui vivent justement avec les prochains, leurs cœurs se manifestent justement avec discernement spirituel, au point qu’il mesure toute chose à son mérite ou degré. Le cœur peut-il prendre tout aspect redoutable, à travers certaines manifestations étranges des prochains. Est-ce pourquoi, ne faut-il agir si injustement avec les prochains, ne faut-il porter atteinte à leur dignité, ou leur humilier ou montrer des actions si flagrants et concevables injustement, sinon leurs cœurs prendront un aspect si opposé, au point qu’ils n’en changeront aucunement. Ainsi, faut-il détester, mépriser, humilier, éloigner, scandaliser justement les personnes dignes, afin que, après tout, elles reconnaissent leurs erreurs. Agir ainsi injustement avec les prochains, est chose qui pousse à leur métamorphoser quasiment leur cœur. L’amour et la préférence proviennent ainsi du cœur, lorsque là où ils convergent, demeurent hospitaliers ; car, pour une personne parfaite ou complète ou saine, il s’avère plus difficile d’aimer ou de préférer  ce qui ne nous  aime ou ce qui nous ne préfère pas injustement.  Au naturel, tout provient du cœur, au point que sa bonne manipulation ou utilisation, oriente mystérieusement le genre humain vers l’itineraire normale de la vie, et ce, selon ce que Allah le Tout-Puissant veut de la vie des fils d’Adam sur terre. Le voisin naturel du Cœur demeure ainsi le Cerveau ou l’esprit. Ce dernier commande l’être humain dans son fonctionnement normal et intelligent sur le chemin de la vie. Mais, une partie plus mystique du cerveau est l’endroit où la sagesse, la mentalité, la moralité et la conscience sont fabriquées. Et, des façons d’être des êtres humains aujourd’hui abominables, l’on appréhende si bien que cette partie dispose d’une existence sacrée dans le cerveau, si la plus part des gens intelligents aujourd’hui dans la science religieuse ou artificielles, demeurent dépourvus des sagesses ou des bonnes moralités. Elles disposent ainsi des origines mystiques, qu’il ya des faveurs divines ou des procédés mystiques d’obtention. Elles peuvent êtres injectés naturellement, qu’elles peuvent être acquises surtout selon l’évolution des temps ou les âges de la vie, selon la volonté de Dieu. La sagesse à ne pas nuire, ou montrer du racisme de l’ethnocentrisme, de l’injustice, ou de se sacrifier pour toutes réussites humaines, sans trahison, ou d’offrir, ou de compatir, ou d’assister sans distinction,  demeure celle qui s’avère être antipode à l’intelligence humaine aujourd’hui. Par conséquent, ce sont ces carences de sagesses, de moralités et de conscience saine,  qui ont engendrées  ces extrêmes ignorances  des êtres humains à ne pas pouvoir justement faire la part des chose, ou à juger justement pour toute exploration de la justice et de la verité, au point que, la plus part des êtres humains trouvent normales ou admissibles, des comportements, des manières ou des pratiques ignobles, grandement antipodes à la veritable dignité humaine, dans une vie mésaventures où les illusions, les aberrations demeurent de tailles dans tout but d’exploration de la verité et de la justice, surtout des liaisons impures existant entre les Fils d’Adam aujourd’hui. Des ignorances accrues, des non perceptions veritables des vérités,  la plus part des êtres humains ont atteint dans ce monde de perfection d’inconscience, ne raisonnant aucunement, menant toute vie pleine d’incohérence, de zones ténébreuses. Nous trouvons des êtres humains qui vivent bêtement avec les prochains sans pourtant mener avec eux toute vie digne, dans telle amoralité, immoralité et inconscience grandissime, sans pourtant s’en culpabiliser, trouvant en mauvaise part tout normal ou cohérent  leurs conduites abominables et pleines d’indignités ou d’ignominies. Ce sont des cerveaux ou des esprits pervers, mal structuré, dérogeant à la qualité digne et innocente dans laquelle est conçu le fils d’Adam par le Créateur Dieu. Ce déclin de la race humaine demeure celui ressentie dans multiples endroits de la terre, que les êtres humains devant pourtant vivre dignement et consciemment, se trouvent enfouis dans toute vie animale, ne trouvant pourtant du mal dans les tels comportements inhumains avec toutes pratiques mettant en cause l’existence terrestre des hommes. Sinon, pourquoi est-il évident que les êtres humains, malgré les conséquences que résultent de leurs actes abominables, ne parviennent pas à en tirer des leçons ou des corrections plus fiables. A savoir, ces carences de consciences et de sagesses et ses déclins de la bonne et de la bonne conscience, c’est ce qui a incriminé l’existence humaine, que des choses abominables ne font que se répéter de leurs mains et propres convoitises immodérées. Et, pourtant, le Créateur Dieu prônant la justice et la verité dans l’évolution de la vie,  ce son les êtres humains  dans les extrêmes mépris des traces divines, qui mènent toutes vies aventureuses, croyant , malgré tout, se tirer des bonnes parts de la vie, sans pourtant cheminer sur tout itineraire de la bonne conduite. De ces veritables existences inconscientes, tout laisse à croire que les fils d’Adam n’existent plus comme digne propriétaires de la terre,  jugeant ainsi en mauvaise part que tel temps sous tel Soleil, est celui des vies indignes, sexuelles ou d’injustices, sans pourtant s’en sentir aucune faiblesse ou culpabilité d’existences dans leurs vies abominables, pleins d’incohérences, des aberrations  dans les veritables conduites amorales et immorales. Ainsi, des jugements fallacieux, des considérations pervers, des croyances fragiles des choses, des comparaisons imméritées,  des courses aux matérielles ou des besoins naturelles, des comportements inhumains, c’est ce qui fragilise les êtres humaines, vivant aujourd’hui sans aucune trace ou  souvenir digne, dans des passés si horribles que les héritages laissés ne feront qu’animaliser les futurs générations. Tout se révèle ainsi que, tant que les fils d’Adam ne retrouvent pas leurs cœurs, cerveaux et consciences saines D’antan, ils ne leurs laisseront que des continuités dans ces vies abominables avec ces terribles règnes des ambitions sexuelles, où, au demeurant, le Plus Puissant, n’est plus celui triomphant dans l’existence digne et noble sur cette terre, mais celui qui s’est fait de multiples hommes ou de femmes dans les pratiques infâmes de la fornication et de l’adultère. Ainsi, l’innocence des cœurs et des cerveaux, que Dieu le fasse un jour, réhabilitera l’âge d’or d’inoncence, de justice et de verité. Nous ne vivons pas aucunement l’âge d’or en ce temps là, et ce, malgré l’abondance des biens de la terre, que la plus part des êtres humains ne vivent qu’injustement, surtout ne se nourrissent qu’injustement, et voire, ne se reproduisent que fort injustement.  Ainsi, le jour où tout sera mené dans les veritables règles de la bienséance, l’être humain connaîtra son apogée et deviendra le plus parfait dans la voie de la justice et de la verité maître des bonheurs de la terre.

Les caractéristiques humaines : l’être humain est une création de Dieu qui compose d’une partie corporelle et d’une partie incorporelle. La partie physique dont la tête et les restes du corps humain ; et la partie non physique dont l’âme et le double. La dignité, la conscience, la sagesse, la moralité et la mentalité, ce sont des vertus incorporelles, mais se trouvant dans le cœur et dans le cerveau. Ce sont elles qui demeurent des veritables  essences de la créature humaine, à la différence des animaux, quoiqu’elles soient dissimulées dans le corps physique. Mais, en ce temps mondains, nombreux demeurent des gens qui prétendent que l’existence humains se réduit seulement à son corps physique, au point que des êtres humains de physique diminuées ne sont tenus en bon rang de la parfaite existence. Au naturel, tel est la philosophie des membres de notre génération pervers, qui  croient que la qualité humaine dans ses valeurs exactes ne résulte que de sa position physique. Mais, contrairement, c’est ce qui ne s’avère être évident, que la veritable mérite humaine n’existe aucunement dans sa création physique, comme dans le visage ou dans la forme des membres, mais essentiellement dans le cœur et dans l’esprit des humains. Toutefois, le Cœur et le Cerveau contrôlant l’ensemble de l’être humain dans une âme et double incorporelle, mais toutes qualités saines ne figurent qu’à travers la dignité, la sagesse, la bonne conscience,  moralité et la mentalité. Mais, en ce temps pervers, avec ces dysfonctionnements grandissimes de ce moteur d’une créature vraie et innocente,  ces vertus ne triomphent aucunement sur la créature humaine, que, en conséquence, les fils d’Adam s’aperçoivent succomber dans les épreuves abominables et humiliantes de la vie, sans tenir compte de ces décadences et de ces mésaventures.  Ainsi, l’on réitère que tout corps humain dépourvu de la dignité, de la moralité, de la conscience et de la mentalité saine, est réduit à néant, et succombera dans le puits de la vulnérabilité, se sentira en mauvaise part admis, mais avoisinant tous les sorts étranges de la vie. L’impureté de l’existence humaine se manifestera dans les différents faits de la vie, que les corps dépourvus de la pureté ou de la dignité d’une créature  vraie seront sujets de toutes les pratiques horribles de la vie. Cet état d’existence se manifeste autant aujourd’hui dans les sociétés humaines, au point que les fils d’Adam ne jugent aucunement d’abominables leurs différentes pratiques pleines d’ignominies. C’est ce qui témoigne, en verité,  que l’être humain doit-il être bien conçu, bénéficier d’une éducation digne en présence des deux parents ou des personnes responsables  et évoluer sur l’itineraire de la décence pour que sa dignité soit saine et complète, tout en en bénéficiant de toute moralité, mentalité et conscience saine de l’évolution décente et innocente sur l’itineraire de la vie. A savoir, il n’y a que des gens qui se disent dignes, ou superieurs, purs , qui ne  cessent de triompher dans toutes les manières ou pratiques abominables de la vie, dont les comportements de bassesses, des manipulations faciles et rapides des humains en mauvaise part, la fidélités aux dits et aux manifestations inhumaines. Certains s’en sortant ainsi indemne, mais la majorité s’en sortent enfouis dans les gouffres de la faiblesse ou des sorts sociales pervers. Ces derniers, les domptés de toutes les emprises mondaines de la vie actuelle, croient qu’aucune chose ne distingue un être humain et à un autre, que tout le monde serait de même façon dans toutes les différentes pratiques mondaines. Mais, au contraire, il y est des vertus qui puissent distinguer effectivement un être à un autre dans les différentes pratiques. C’est ce qui fait qu’ainsi, certaines personnes évoluent sous l’emprise de la  faiblesse, lorsqu’ils se trouvent suffisamment dépourvus de ces vertus. La peur, la dignité, le totem, la mentalité, la moralité et la conscience saine. La dignité, dans son existence dans le corps humain, demeure être toute vertu suscitant de grande différence chez les êtres humains. Les Fils d’Adam n’ayant pas des mêmes degrés de dignités, ne se trouvent en même types d’existences sociales ou dans les pratiques des usages de la vie. A savoir, les êtres humains bien crées, bien éduqués et élevés, ce sont eux qui exploitent dignement leurs existences sociales dans toutes les circonstances, à ne pas ainsi s’avoisiner aux choses ou aux pratiques pleines d’ignominies. Ils se réservent des pratiques infâmes et savent mettre en valeur leurs créatures humaines en leur préservant de l’impureté ou des comportements susceptibles de dénaturations. Et, souvent, en ce temps moderne,  ces types personnes devenant rarissimes, parce que, ne voulant causer du tort à leurs créatures humaines à travers des pratiques abominables, sont méprisés ou dédaignés injustement, surtout, du fait de leurs éloignements aux pratiques infâmes, dont les banalisations sexuelles, ou toutes formes de pratiques infâmes. Les gens dignes, étant élèves dans la dignité, ne s’étant associé à nulles épreuves abominables de la vie, ne se mêlent de ces visages pervers de ce monde quant aux comportements inhumains, quoique, assument dans les règles de droits, avec les bons usages de la vie,  leurs droits, devoirs et fonctions naturelles. Ainsi, cette dignité apportant la retenue, la prudence, l’attention ou la conscience sur le mal, demeure celle qui menace jusqu’à présent certains genres humains ne songeant aucunement à toutes liaisons à ces choses horribles de la vie. Mais, la plus part des êtres humains étant dépourvus de ces règles ou de ces vertus internes du corps humains, voila ne disposent pas de freins, ni d’attentions, quant l’existence normale et saine dans ce monde nouveau, où, rien n’est attention ou conscience à se préserver des pratiques ou des comportements abominables. En conséquence, l’on accuse les rescapés, les modérés ou les attentionnés de fous, d’idiot ou d’inferieur, sans pourtant constater ces réserves ou ces retenues de ceux  dont leurs états d’esprits ou consciences deviennent moindres et moins combatives quant à l’éviction de ces aspects dérisoires de la vie. La Peur, comme la dignité, ce sont des vertus demeurant veritables caractéristiques de l’être humain ; la peur en Dieu, la peur du futur, la peur de la honte ou la peur de choir dans le monde de la faiblesse, une fois inoculée dans le corps humain , naturellement ou par la miséricorde divine, l’être humain ne deviendra aucunement sujet des vies aventureuses ou pleines d’ignominies ou d’infamies. Mais, de nos jours, ces vies mondaines demeurent empilés des fils d’Adam qui en sont grandement dépourvus et neutralisés, lesquels, au demeurant, ne situent l’être humain dans sa création saine et parfaite par le Créateur de L’Univers, croyant ainsi injustement pour des gens faibles ceux qui ne sont pas mêlés sans mesure , retenue et légalité de ces dévergondages sexuelles. Cette peur demeure aussi tout élément caractéristique de la rigidité humaine dans sa résistance sociale et futur des deux mondes. Toutefois, les êtres humains n’ayant peur de Dieu, ne disposant aucunement de précaution ou sur soi, quant à la sauvegarde personnelle de l’âme saine et du corps humain pur et sain, sont  ceux qui agissent sans contrôle pour cette manifestation faramineuse du monde de mal. La dignité, la peur et le totem,  entrainent les fils d’Adam à la retenue, à la mesure, à l’éloignement de ce monde de perturbation, et de vœux pervers et insatiables. Le totem est une vertu, qui avait mystifié la vie des êtres humains, dont les êtres humains à totem demeurent rarissimes aujourd’hui. Le totem, était que les fils d’Adam, pour ne pas démystifier, ou se neutraliser les pouvoirs cachés, conférés par Dieu ou par les forces naturelles, se préservaient à ne pas s’aventurer dans cette vie. Porter atteinte à son totem, était-ce ainsi de se nuire, ou encore, mettre en cause sa valeur, ses mystères ou noblesses naturelles ou acquises. Les prophètes, les Messagers ou certaines personnalités mystiques disposaient de ces totems, qu’il ne leur était toute permission à se faire ou s’aventurer dans les mauvais chemins de la vie. Disposer d’un totem, apporte ainsi une précaution, toute prudence, mesure, retenue et conduite digne, savante et responsable. Ainsi, celui qui sait que, une fois avoir mené toute action ignoble s’avère susceptible de l’entrainer vers la ruine, en bénéficie fatalement d’un totem ; celui qui sait que,  une fois avoir menti, ou encore participé à la banalisation sexuelle, c’est de se nuire la vie, ne se doit aucunement de s’y approcher ou manifester nullement. Mais, les êtres humains aujourd’hui, existant vraiment sans ces vertus, croient que l’homme  dépende  seulement de son portrait physique, et est obligé à tout faire, même ce qui définit très mal à l’existence humaine dans son vraie nature humaine. L’être humain n’est pas tout à fait définit par sa qualité physique, mais par sa dignité, sa peur ou précaution et ses totem. Ainsi, lorsque, l’une de ces vertus remplit tout corps humain, le fils d’Adam devient inébranlable devant les perturbations spirituelles, les manifestations des vœux pervers, les envoûtements excessifs des pouvoirs maléfiques. Celui qui a  peur d’échouer, ne subira l’échec  que par fatalité, de ses propres faiblesses involontaire, et difficilement par les faiblesses apportés par les prochains. Celui qui a peur de se noyer, se noiera difficilement ; celui qui évite un mal, sera difficilement son proie ; celui qui ne veut pas céder à telle chose,  en sera difficilement emporté. Ainsi, les âmes précautionnées, s’aventureront difficilement. Ainsi,  Les gens menacés dans leurs cœurs et dans leurs esprits dont ils deviennent esclaves, demeurent fatalement vulnérables, qu’ils en sont fatalement emportés par le monde de mal. C’est ce qui a entrainé la perdition ou ces mésaventures de la plus part des êtres humains, qui, perdant ces piliers humains de la sauvegarde, sont proies de toutes les mauvaises emprises de la vie. Au naturel, l’être humain n’est rien lorsqu’il n’est animé de certaines peurs, dignités et totem de  bien esquivé, ou de bien vivre sur l’itineraire de la décence et de la réussite. Toutefois, être nanti des défenses internes, avoir toute conscience sur soi et sur son prochain dans le cadre de veritables bienséances, c’est pouvoir bien redresser son existence sociale en vivant bien dans le monde de la réussite et d’épanouissement mental et spirituel. L’être humain n’est rien, si toutefois, il ne se connaît pas, qu’il ne se situe pas dans le monde de la dignité et de la conscience. Et, difficilement, celui qui ne s’est bien jugé dans telle pratique ou attitude abominable, n’en jugera pas bien les prochains ; celui qui ne se connait pas le mal d’une telle pratique, en sanctionnera ou en réprimandera difficilement les prochains ; ainsi, celui qui aperçois cette génération sous l’angle de l’innocence, en aura difficilement des critiques à son encontre. C’est ce qui dévoile ou atteste cette fameuse culpabilité de la plus part des êtres humains, qui, au demeurant, demeurent hostile aux prochains qui leurs sont visiblement contraires. La culpabilité ou l’innocence, est une réalité interne dans le cœur ou dans le cerveau, à travers des faits, et à travers des mentalités, des moralités ou des consciences abjectes ou bonnes des prochains. Ainsi, tout être humain, étant dans le corps humain affaibli, sera difficilement facile à métamorphoser en mauvaise part ou à orienter sur de veritables itinéraires de la bienséance. A savoir, quelque soient les mauvais emprises de certaines manifestations extérieurs, le Fils d’Adam aux consciences, mentalités, moralités et sagesses bonnes ou pures, s’y achoppera difficilement ; et ce, même si, il y devient de fois contigu, mais, il y agira avec mesure et retenue, avec tout veritable discernement, et voire, quoique soient l’emprise mystique du monde de mal. Mais, du fait que, dispose-t-il de toute défectuosité des organes internes, et surtout que ne trouvant du mal dans certaines pratiques du mal, voila que pourra y être fatalement vulnérable en cas de toute orientation. Aujourd’hui, la plus part des êtres humains ne disposant de veritables piliers internes de sauvegardes,  c’est ce qui fait que l’emportement du monde de mal vire plus perpétuel et menaçant. L’on ne connait ainsi pourquoi s’esquiver des mauvaises attitudes, et comment parvenir à se retenir ou à se sauvegarder des mauvais emprises, dans un environnement culpabilisé, où tout tourne autour des pratiques infâmes et ignobles. Tout s’accroissant ainsi autour des mentalités, des moralités et des consciences basses, tout s’épanouit à travers des faiblesses, des ignorances et des carences grandissimes de sagesses, au point que, le Fils d’Adam s’en est réduit pour une créature humaine n’étant destinée à la vie innocente, qu’aux vies indignes et abominables, surtout des veritables illusions et aberrations. Au contraire, les Fils d’Adam ne demeurent aucunement crées pour des fins nocives, quoique, de nos jours, ne sont élevés à l’égard des prochains que ceux qui se manifestent dans le monde du mal, que ceux qui cheminent sur l’itineraire du mal, avec des manières et attitudes si abominables. Pourtant, le mal c’est l’opposé du bien ou des actions du bien qu’un être humain peut-il s’en agencer soi-même et surtout en nuire les prochains. Le malheur, est une  chose, un mauvais sort qui ne s’oriente point injustement contre l’être humain, si tout résultera des mauvais comportements, donc des péchés directs ou indirects, ou des malédictions directes ou indirectes. L’être humain ne se verra injustement orienté vers un mauvais sort, sans qu’il n’en soit ainsi toutes origines directes et indirectes. A savoir, celui qui voudra s’esquiver des mauvais sorts, ne fera que s’en éloigner : est-ce le principal moyen d’éviction. L’injustice est une situation jugulant l’évolution juste de l’être humain sur cette terre, dont la conséquence, sera la déroute, au detriment du chemin de la justice et de la verité. Ainsi, celui qui voudra vivre et réussir éternellement avec toute descendance nombreuse, devra exister justement sur terre, envers Dieu et vers les prochains. A savoir, si le corps humain actionne à travers l’ « Ame », quant aux événements ou aux évolutions décente de la vie humaine, tout résultera de la « justice et de la verité » ; ‘est-ce ce qui témoigne que les choses se créant et s’accroissant sans la justice,  disparaitront tôt ou tard sans laisser de trace. Le monde ou la vie terrestre est assise sur la justice et la verité créée depuis les ancêtres Adam et les Grands Prophètes de l’histoire, des grandes bénédictions. Se contenter de l’existence juste sur cette terre, s’avère  plus mieux  que de mener injustement sa vie terrestre. Croire ainsi réussir avec injustice, cela ne sera qu’éphémère, que la justice et la verité s’appliquera au fur du temps. L’inquiétude, est-ce un mauvais état de manque de quiétude ou d’assurance du cœur et de l’esprit, que ne sera inquiet que le coupable, l’injuste ou le mauvais. Ainsi, pour toute situation où l’on n’y sent aucune inquiétude interne, ne tournera rarement à la défaveur. Ainsi, les malfaiteurs, les injustes ou les traites, une fois être soupçonnés, ne s’éloigneront aucunement de l’inquiétude ; alors, il s’avère impossible que quelqu’un  ait tout problème, tout défi, surtout où il n’y espère aucune issue,  innocence, sans être maté d’inquiétudes et de peur des conséquences. Et, voire, au reste,  l’on est injecté des peurs et des inquiétudes pour des situations où l’on est assuré être innocent, a plus  forte raison pour des situations dans lesquelles l’on est coupable. Ainsi, pour toute situation dans laquelle l’on ne dispose aucune  culpabilité, l’on en gagne difficilement certaines inquiétudes, et ce,  à moins que ce soient des problèmes cherchés par des enfants par rapport aux parents, ou à travers certains faits particuliers. Les critiques faits par un homme innocent, résulte souvent d’une réalité des faits ou des actions relatives ou sources. Ils sont souvent toute révélation à l’encontre du coupable  qu’il devra désormais disposer de toute conscience quant à l’éviction, ou à la résolution des solutions analogues. Le mal  des critiques ou des censures existe lorsqu’ils sont émis injustement, surtout à travers des personnes qui ne le méritent ; comme exemple, un enfant ne se doit-il être chargé pour critiquer ou sanctionner un vieux. Les critiques justes s’avèrent être évidentes pour des personnes, qui,  devant se neutraliser de leurs manières infâmes, devra-t-il disposer de toute prise de conscience à faire face aux différentes situations pour pouvoir relever tout défi. Ainsi, tout être humain critiqué dans le bon sens, voire justement, se doit-il de pouvoir relever tant soit peu certains défis. Les critiques, comme des médicaments, guérissent, à l’encontre de qui ils sont orientés. Faut-il ainsi tenir compte des véracités des critiques, afin de se conférer de certaines issues ou solutions, quoique l’entraide d’autrui s’avère inévitable.

LES CONSEILS DE SAGESSE ET TOUTES PRISES DE CONSCIENCES

L’humiliation, depuis les ancêtres Adam et Eve, a toujours été tout totem des créatures humaines. Ne faut-il pas alors humilier injustement ses prochains ; et au reste, n’est digne ou pur quant à la veritable valeur humaine, celui qui a la manie de le faire. Ce sont des gens humiliés et dignes qui rêvent à l’humiliation de leurs prochains. Pourtant, ne disposera pas du courage de le faire, tout être humain portant tout critère ou bonne qualité ou nature du fils D’Adam, surtout sur l’itineraire de l’injustice. Faut-il tacher de tout faire pour tirer des prochains des humiliations : cela décèle toute manière d’une créature vraie. N’avoir pas la capacité de pouvoir tirer des gens des humiliations, consister ainsi à s’en éloigner, ou s’en faire ignorer de tout, et non plus à y assister. A savoir, celui qui assiste à l’humiliation de son prochain,  même si, il n’y participe pas, est égale souvent à ceux qui ont participé. Ne pas regarder là où les prochains sont humiliés injustement, si l’on est incapable de tout surmonter : sinon, cela peut être source de plusieurs situations incroyables.

Les gens vivant ensemble, même pas de mêmes ethnies ou races, dans un milieu, dans une contrée ou zone, mérite disposé fatalement des mêmes existences naturelles, sous la commande de la justice et de la verité. Au reste, les gens ne peuvent se rencontrer dans un même lieu sans que cela ne résulte des raisons ou des vérités, qu’ils  pussent  disposer à peu près des mêmes destins ou des critères qui leurs ressemblent. Mais, nombreux demeurent des personnes qui comprennent très mal ce rapprochement, considérant ainsi des inferieurs ou des immatures ceux avec lesquels ils se retrouvent dans le même milieu. Un homme ne trouvera un groupe de personnes et y existé avec eux, sans qu’il ne partage quelque chose d’identiques.  Se retrouver ainsi incroyablement, ou d’une façon inattendue avec des gens dans un même milieu, le mieux c’est pouvoir bien vivre dans la justice et verité avec eux,  et se séparer un jour avec eux dans l’innocence. Toutefois, celui qui existera bien avec les prochains saura bien agencer un bel avenir ; mais, celui qui se contente de soi, qui nuit ou s’éloigne injustement, saura se tailler de mauvaise part de l’avenir. Les personnes d’ethnies ou de races différentes travaillant ou vivant dans un même milieu ou endroit, se doit de se faire des parents ou des approchés dans la justice et verité : ne haïr, ou éviter ou s’éloigner, ou montrer du racisme ou ethnocentrisme aux prochains que dans la justice et verité.

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Tout mal, malheur ou mauvais sort, porte conseil ; faut-il savoir, en tirer de veritables profit pour pouvoir mieux s’orienter sur le chemin de la réussite. Se voir tromper, trahir, tricher injustement par les prochains, permettra à se lui rendre conscient, précautionné, pour ne plus choir dans les mêmes guets-apens.  Mais, les êtres humains ne font qu’être victimes des mêmes maux, malheurs, sans prise de consciences, ni moindre solution d’éviction ou d’épanouissement.  Si l’on est victime d’un mauvais sort incroyablement, faut-il se poser des questions, et à en chercher à dépister les issues et y apporter des solutions, si tout c’est possible, promptement.

Les critiques s’avèrent si positifs, surtout si l’on ne s’en attend pas ; ils sont si fondés, quoique mal dit, lorsque les causes sont évidentes et logiques. Ils serviront à bien agir, ou à mieux s’orienter sur l’itineraire de la décence. Nous vivons dans un monde facile, où il faut seulement la bonne volonté et le courage pour tout réussir ; s’attendre ainsi être lavé au niveau de tous les corps sans rien faire, n’est pas évident pour celui qui est en bonne santé. Faut-il ainsi se doter des bons programmes, et en avoir la volonté et la décision à tout surmonter. Le sacrifice et agir à cause de Dieu, tout s’avérera être susceptible de bien marcher.

Vaut mieux chercher à se rabaisser là où l’on ne veut que l’on soit élevé, quoique l’on pût s’y élever  ou que l’on dispose toutes possibilités d’y arriver. Faut-il  se rendre important parmi les gens qui  veulent votre importance,  apport ou soutient, et non plus devant ceux qui veulent notre recul ou chute. Ne faut-il pas forcer la situation pour ce qui n’est pas dissociables.

Pourquoi chercher les respects de celui qui ne veut pas te respecter ou t’obéir, d’une façon injuste et catégorique. Pourquoi chercher l’appréciation de celui qui ne veut pas t’apprécier si injustement, si l’on n’a pas peur d’une chose. Faut-il, du moins être modeste  ou serein ; ou bien au cas contraire, agir avec extrême nécessités. IL y a aujourd’hui des êtres humains qui agissent qui sont déniés de toute bienséance et sagesse ; sinon le fils d’Adam est celui qui doit vivre justement avec les prochains.

Ne détester  ou mépriser que celui qui  le mérite, donc si justement ; sinon détester ou mépriser injustement les hommes dignes et innocents, consiste à se faire détester ou mépriser injustement. Ne faut-il chercher à faire la guerre injustement aux gens, sans raison évidente, car le cœur et le cerveau s’en acclimatera rapidement. Celui qui aime celui qui l’a détesté injustement, ou celui qui est contre sa créature humaine, n’est pas digne. Lorsque le prochain vous critique, haï, déteste, humilié  ou vous manqué du respect justement, ne lui fait pas la guerre ; mais plutôt sache faire la part des choses ; car celui qui est détesté justement, ou déprécier, pourra si bien changer de  cœur ; mais le contraire s’avère impossible ; évite, si tu le veux,  la personne qui a agit ainsi si injustement contre soi.

Se conduire justement envers les gens dans toutes choses, Dieu te positivera toutes leurs mauvaises actions ; ils croiront te faire du mal, mais ne cherchent que leurs propres nuisances. En cas de séparation, Dieu ne te fera jamais regretter d’eux ; et la justice divine Te choisira des bons collaborateurs et des veritables itinéraires. Etre victime du mal est douloureux, venant des prochains si injustement ; mais il n’y a de plus privilégié que  lorsque l’on parvient à découvrir les mauvais gens que l’on avait considéré pourtant de bons, que ce soit parmi les parents ou connaissances : ne fait pas la guerre ; mais précautionne toi et agit désormais avec tact et méthode.

Souvent, avoir le souci ou la peur pour la réussite de telle chose,  confère tout élan, amour volonté et courage d’y réussir. Faut-il pouvoir ainsi s’en doter pour arriver à telle fin, et ce, quelque soient les guets-apens ou les moindres frais.

Faut-il juger ou qualifier les prochains par rapport aux faits évidents et concrets qu’ils ont effectivement faits. D’aucuns se contentent des dits dérisoires pour agir, en croyant bien obtenir le meilleur itineraire ; mais, au contraire, ils s’achopperont aux défis forts difficile à relever. L’être humain conscient agira à partir du concret, s’esquivera des illusions.

Les actions du mal que les prochains commettent avec flagrance et incohérence, serviront pour les victimes de veritables leçons ; si l’on est juste, Dieu nous fera profiter de toute chose, et ce, quoique les gravités de certaines situations. Quelqu’un qui t’agit injustement, avec flagrance, sont à esquiver ou éviter.

Les biens que l’autrui refuse de servir, ou d’offrir avec insistance ou refus catégorique, demeurent tant positifs ; tous les malheurs, ou toutes les malchances provenant des prochains ne sont quelque fois pas des malheurs ou des malchances. Un bonheur ou un bien qui nous éloigne souvent,  voire incroyablement, n’est pas négatif pour un être humain décent et innocent.

Les œuvres, les amitiés, les affaires ou les activités qui ne sont bons se brisent incroyablement, sans que rien ne soit de notre erreur ou faute.

Trop d’échecs dans nos activités, dans nos différentes affaires, sans que rien ne soit de notre faiblesse ou incapacité, est-ce une veritable prise de conscience.

Les mauvais gens sont de fois dévoilés par leurs adversités ou rivalités ou oppositions injustes et imméritées.

Faut-il se rabaisser ou se soumettre pour vu d’acquérir les biens ou les bonnes traces d’autrui. IL s’avère, du moins, difficile d’aider les prochains qui sont arrogants ou hautains, ou qui sont contre ton travail ou ton progrès.

Un innocent qui est plus proche d’un bien ou d’une chance le manquer par rapport à d’autre qui est éloigné ; souvent ce bien n’est pas le sien ; il s’agit pas de disposer d’un bien, et à la suite, en avoir des conséquences pervers inattendues ; du moins, Dieu n’aide pas d’un mauvais aide ; le bien ou la chance qui dévie un innocent n’est pas bien. Les relations amicales qui échouent incroyablement, ne sont pas bons pour un innocent.

Les malheurs, les malchances dont l’on a été victime, sans notre faiblesse, voire incroyable et inattendue, ne sont des malheurs ou des malchances ; les chances, les bonnes relations humaines ou les bonheurs que Dieu confère à un innocents n’ont pas des suites négatifs.

Les séparations ou les divorces qui interviennent sans notre faute ou faiblesse, voire incroyablement, et surtout que l’on en soit innocent, sont à consommer. Les prochains nous ayant injustement fait la guerre, avec une telle conscience inhumaine, sont à égarer, ou à esquiver. C’est ce qui n’est bons, les unions ou les connaissances non solides, pour un innocent, sont  construis sur les sables, que Dieu en empêchera.

Faut-il devoir apporter tout conseil ou toute suggestion dans l’existence, dans le travail ou dans les conduites indésirables des prochains, une fois que l’on y constate certaines aventures ou faiblesses. Mais, les êtres humains deviennent plus misanthropes aujourd’hui, plus sadiques, plus malfaisants qu’ils laissent les prochains qu’ils doivent tout conseil ou correction pourtant, à s’aventurer dans leurs vies. Ainsi, conseiller les prochains, les corriger, les demander ou les interroger décemment et avec attention, c’est une veritable prise de conscience. Mais, l’on est si méchant aujourd’hui que l’on laisse les prochains agir dans l’erreur, et ce, quoique l’on pût leur apporter des issues ou des corrections ou des conseils.

Les gens comparent leurs états de malheur ou de mauvais sorts à ceux des autres, sans pourtant songer à s’en guérir, ou s’en trouver d’issues, ou sans plus non plus en avoir de remords ou de terribles. Ceux-ci perdureront dans leurs mauvais sorts aucun affranchissement. Parce que, des situations peuvent êtres identiques, mais de débuts contraires ou de causes différentes. Tout le monde est malfaiteur, mais tout le monde ne s’est pas mêle des pratiques des mauvaises choses de la même manière, soit volontaire ou involontaire, ou d’autres raisons.

La discrétion est une vertu si sacrée, que même le Tout-Puissant, pour se lier à ces serviteurs,  ne les recommande aucunement l’indiscrétion. L’indiscrétion est un terrible défaut qui tue le rapport entre les êtres humains, qu’une personne connue indiscrète, perdra d’autant de chances, de connaissances, ou de relations de qualités décentes et modestes. S’esquiver des indiscrets, c’est une façon de vivre très résistant dans la société, que ce n’est pas toutes les ententes ou conventions chères qui doivent être divulguées.

Le racisme et l’ethnocentrisme montrés injustement,  ce sont des convoitises des êtres humains impurs, ne contenant pas tous les bons critères d’un vrai fils d’Adam. A savoir, tout être humain conçu en bonne part aimera justement toutes les créatures de Dieu.

Il est vain et inutile que l’on se contente des petites raisons ou moindres, sans poids, tout en faisant dos injustement aux grandes raisons ou aux vraies causes. Les pareils gens mèneront toujours des vies mesaventureuses, sans aucune bonne issue des défis de la vie.

Les pouvoirs maléfiques, aujourd’hui rendent les êtres humains drolatiques, qu’ils ne savent non plus maintenant sans tirer de bons profits, que ne sont plus tourmentés en ce temps que ceux qui sont reliés chez les charlatans ou chez les marabouts. Au demeurant, certains croient que tout tourne autour des manifestations maléfiques, au point que, quant à eux, une fois avoir fait un travail pour réussir, pour triompher ou pour changer l’état d’âme, rien ne s’y opposer, sinon les bons résultats. A cet effets, ils ne cherchent aucunement à savoir est-ce que tout est vraiment réussi ou pas. Par conséquent, tu verras un perturbé monter et descendre d’outre en outre, avec une fausse croyance que ce papier pilier lui permettra de faire mêmes les choses interdites ou défavorables avec violations. Bien sûr, ces papier triomphent, mais, il ya des situations dans laquelle, une fois que le cœur et l’esprit sont terrorisé, rien ne pourra en changer, sinon la volonté d’Allah ; ne faut-il ainsi agir avec flagrance, ou porter atteinte à la dignité ou humilier injustement, pour s’attendre toute annulation par le biais des maraboutages. Les gens agissent si humainement aujourd’hui, en espérant en mauvais part s’en neutraliser par les maraboutages. La seule chance est qu’ils coïncident aux victimes aux cœurs moins touchés. Le plus meilleur ainsi, pour tout Fils d’Adam, c’est tacher à s’orienter sur la décence, en agissant justement avec leurs prochains, sans pourtant les témoigner des comportements inhumains, qui ne puissent être facilement annulé dans les cœurs.

Les êtres humains n’agissent pas aujourd’hui dans la pureté et dans la dignité, que ces anomalies se trouvent classés dans leurs cœurs et esprits fragiles. Car, c’est plus indigne pour un être humain de se fier aux  faibles raisons, aux causes moins solides, voire qui n’existent pas surtout. Le vrai être humain est celui qui discerne le vrai du faux, qui ne veut aucunement agir sous l’emprise des illusions ou des aberrations. Les gens se contentant des illusions ou des aberrations, sans discernement, ni exploration de verité, ne sont pas des vraies êtres humains. Sinon l’être humain que Dieu a conçu dans la pureté agira dans la pureté et dans l’innocence.

Les âmes, les mentalités , les moralités et les consciences sorcières, sont ceux qui tenaillent aujourd’hui l’évolution normale des sociétés, que les gens  rendent leurs esprits et leurs cerveaux pour des pratiques sombres, sans aucun discernement, sans cesse, et voire, par conséquent sans aucun résultat digne. Sinon, se contenter de la culpabilité, des critiques ou des choses abominables, ce sont ceux qui anéantissent l’existence noble de la race humaine. L’on ne peut déroger aux règles  ou aux principes, et voire des malveillances ou des nuisances  des prochains, sans tenir compte de leurs revendications, ce sont des défauts des plus sombres quant à l’évolution normale de la vie humaine. Pourtant, celui qui ne corrige son état critique à travers des faits ou des épreuves, sortira vain, et vivra tous les mauvais côtés de la vie. Un vrai humain est celui qui se rectifie, se corrige, qui évalue ses défauts, qui mesure ses rapports avec la société en fixant ses limites, en respectant le droit d’autrui, ou les personnes dans leurs raisons ou droits. Celui qui ne tient pas compte des personnes dans leurs droits et raisons, n’est pas une créature humaine aux vraies, qu’il mènera des vies ambigües aux finalités sombres, sans aucune porte de sortie digne et innocente.

Trôner une chose moindre comme raison, un témoignage ou fait quelconque comme tout support,  consister à s’y aventurer et voire par conséquent choir dans les guets-apens de la vie.  Les êtres humains sont si libertins en ces jours, qu’ils profitent des choses ou des causes balivernes pour que, quant à eux, réussir leur entreprise ne marchant  pourtant pas sur l’itineraire de la justice te de la verité.

IL n’y que des gens qui se font élever injustement, soit par ethnocentrisme ou racisme, et ce, malgré tout, faiseurs des choses indignes, inconscientes ou abominables.  Les choses abominables ou pleines d’ignominies ne feront que rabaisser les êtres humains, et l’on ne saura, aux regards des prochains innocents et conscients, à s’en rendre supérieur.

Faut-il savoir partager le mal d’autrui, assister les prochains, les tirer des mauvais chemins, en les conseillant, en les faisant savoir leurs erreurs et leurs fautes. Celui qui n’est pas bienveillant, tolérant, solidaire, ou qui ne s’inquiète pas des situations d’autrui, voire si injustement, n’est pas un veritable fils digne D’Adam.

Il n’y a que des faibles d’esprits ou consciences à juger bien ou à explorer les vérités. Celui qui prend le bon pour mauvais, ou le mauvais pour le bon, ne vit réellement pas dans cette existence digne de l’existence humaine terrestre. Et pourtant, ces deux choses autant,  ne sont nullement difficiles à distinguer pour les personnes aux esprits saints. Ce déclin de raisonnement et d’analyse évidente, voila, c’est ce qui a proliféré l’ignorance sur cette terre, que l’on ne   juge plus, ou que l’on perçoit plus la verité, selon les principes de la logique ou de la cohérence.  Ainsi, il ya que des gens qui ne tiennent compte que de leurs présents, qui sont déniés des réflexions, aux pensées et aux raisonnements équivoques. Aussi, les fautifs et mauvais ne rêvent que de voir en mauvais aspects toutes choses, qu’ils leur sont préférables de porter injustement des mauvaises qualités sur les prochains, même si ceux-ci en sont carrément différents. Sinon, celui qui connait que telle chose, telle parole, telle nouvelle est fallacieuse, mais malgré tout, s’y fier, n’est pas de la dignité ou de l’existence mature de la créature humaine. A savoir toutes consciences ou esprits sains et purs, ne pourront accepter de s’inonder dans ces erreurs de la vie.  Pourquoi, les pratiquants des choses ignobles, déniées de respects et de dignité, souhaiteraient vivre dans les sphères des mérites et des appréciations sociales, en devenant ainsi quasiment contraire des critiques et des suggestions ? N’est pas digne celui qui se contente des choses, des paroles ou des pratiques indignes.

Les êtres humains peuvent disposer des mêmes besoins, mais se distingueront aux degrés d’approchement ou d’assouvissement.  Alors, tout le monde peut disposer des mêmes vœux,  mais d’aucuns savent si bien s’y mesurer, ou en chercher avec retenue. Tout le monde aime certes la viande, mais toutes les viandes ne sont désirables, celles des moutons par rapports aux chiens. Aussi, toutes les viandes de moutons sont comestibles sinon les plats de viandes en décompositions ou retenues dans les endroits pervers. Par erreur, l’on confère à tout le monde des mêmes caractères et défauts, sans pourtant savoir que des êtres peuvent se distinguer aussi bien dans leurs différents vœux et besoins. Certaines personnes mesurent les affaires charnelles, mais d’autres n’en font pas de différences, et ne cherchent que le sentiment, seulement que le sentiment. Ce sont eux qui prétendent en mauvaise part que le monde n’est réduit que dans les pratiques infâmes, des sexualités ou des quêtes sempiternels des choses matérielles. Ils vivent dans les mésaventures de la vie, et ne finiront qu’autour de sorts ou des situations perverses. Tout être humain ne respectant sa créature humaine, verra son existence terrestre construits sur des piliers moins résistants, et sera victimes des sorts équivoques et terribles de la vie sans trace et descendance solide.

Juger entre les personnes ou entre deux parties, pour connaître telle verité, surtout à propos d’un fait ou d’une circonstance, consiste à les écouter, connaître l’opinion ou les points de vie ou les pensées de chacun. Mais, les plus aventurés ne feront que se baser sur un côté, parce que, tout simplement, ils n’en sont justes ou conscients. Un être humain pur et digne ne se contentera aucunement des mensonges pour pouvoir arrêter tel jugement.

Parler, jouer, ou s’approcher des gens, ne veut pas dire que l’on est fatalement égal. Mais, les gens des moindres consciences n’oseront que des prochains qui leurs sont justes, sages et amicales. C’est celui qui se montre inferieur et qui pratique devant toi des choses abominables, que personne ne peut trôner, que l’on doit minimiser ou démystifier. Les qualités de bassesse ne se cachent pas. Approcher des gens pour le biais d’un travail, ne veut pas dire  que l’on est égal. S’engager à respecter ou à faire réussir son travail ne veut pas dire que l’on a peur. L’Homme digne et conscient agira toujours avec justice et verité.

IL s’avère difficile d’être bon et mauvais à la fois envers son prochain, qu’un côté avalera forcement le second. Ainsi, si l’on est bienveillant, ne s’en cache tellement ce caractère, sinon par extrême nécessité, comme le cas d’aider fatalement son prochain dans une situation à risque. Ne faut-il pas considérer une seule bonne action que l’on a faite en  cachette, en agissant ouvertement en mauvaise part sans limite. Les amis et les ennemis quoique ne se voilent pas pour le connaisseur, mais certaines personnes peuvent neutraliser leurs positions appréciables à travers des comportements bizarres non soutenables et acceptables.

Les faibles personnes,  sont celles qui s’ajoutent aux traces horribles, indignes ou abominables des prochains, en les aidant ou supportant dans leurs faibles d’esprits. N’est pas digne celui qui s’ajoute à l’abominable, aux choses ou aux causes honteuses et vivement inconscientes.

Souvent, les personnes comprennent ou jugent très mal leurs prochains avec méconnaissance total des positions de leurs cœurs. Ignorant ainsi le contenu des cœurs de leurs prochains, voila ne considéreront ainsi que l’état de leurs cœur, avec arrogance et fierté. Pourtant, certains êtres humains ne vivent qu’avec la peur de Dieu, ou à travers  certaines considérations des liens mystiques, ou certaines qualités de sagesses.

Les êtres humains souvent comparent leurs états d’esprits ou leurs états de cœur à ceux des prochains, voire en mauvaise part, ou sans circonstance évidente. Pourtant, les prochains ne peuvent pas considérer fatalement ce que l’on considère ou que l’on trouve pour meilleur ou indispensable ; et ce dont on a  peur, les prochains ne peuvent forcement en avoir peur. Les êtres humains se distinguent par rapport à leurs innocences et culpabilités.

Certaines personnes vivent vraiment au rebours ou au sens contraire de la décence, de l’innocence, de la bienséance, du savoir-vivre et du savoir-faire. A savoir, il s’avère fort dangereux à ne pas savoir ce qui pusse passer ou pas passer au niveau de son prochain, ce à se servir  ou ce à ne pas se servir, les choses à éviter ou à ne pas éviter, à s’approcher ou à s’éloigner, à élever ou à rabaisser. Ceux-ci vivent bêtement avec leurs prochains. Faut-il situer pourtant ce qui est haut aux yeux de son prochain , ou ce qui est plus bas, ce qui est humain , ou ce qui n’est pas humain, ce qui est  favorable par rapport à ce qui n’est pas favorable.

En ce temps, les êtres humains dans leurs existences  aventureuses,  tendent à généraliser en mauvaise part les mauvais caractères et les défauts, comme si était-ce tout décret de Dieu. Mais, si tout le monde était coupable sur cette terre, et surtout était de  même passion pervers, avec les mêmes moralités et mentalités, la fin du monde humain aurait vu jour. Ainsi, quoiqu’il y ait des choses naturelles qu’il faut naturellement et fatalement  aimé, les degrés de préférence, de choix, ou d’amour peuvent si bien différer les uns des autres : c’est ce qui distingue effectivement les êtres humains sur cette terre en ces jours pervers. IL y en a, du fait qu’ils ont peur de Dieu, ou par suite d’autres raisons,  voila,  ils se réduisent de ces vœux, ou en cherche sur l’itineraire de la justice et de la verité.

Nombreux demeurent des êtres humains, à l’instar des sorciers, qui s’injectent des espoirs pleins d’illusions, sans aucune possibilité de réalisation aux futurs, qui s’allient aux simples considérations, pour chercher à barrer ou mettre en difficulté son prochain ou dans l’échec, et après tout, et malgré tout, s’attendre à profiter de lui. Pour avoir son prochain, ne faut surtout lui montrer rien d’adversités ou d’oppositions injustes, sinon que lui supporter ou de l’aimer dans ses entreprises. IL s’avère difficile de faire aimer quelque chose à quelqu’un, qu’il n’aime pas surtout justement, dont le cœur ou la volonté en est antipode.

IL n’y a pas d’identité quant à l’appréciation ou la dépréciation du mal ou des choses  favorables ou défavorables ; tous les êtres humains, à travers leurs cœurs et esprits, savent distinguer ce qui est bon par rapport à ce qui est mauvais, ce qui est préférable par rapport à ce qui n’est pas préférable.

Diminuer son prochain, lui rabaisser injustement dans sa dignité et sagesse, consiste à  mettre en cause les raisons de toutes existences sociales : ne faut le faire à tout le monde. Des êtres humains aux qualités humaines déniés de toutes puretés, prennent à la légère l’existence humaine de leurs prochains, sans pourtant distinguer leurs qualités veritables internes. N’est pas digne, celui qui cherche à vivre injustement avec les prochains.

Réussir  dans une société, avec des intentions ou des objectifs contraire à la justice et à la verité, surtout dissimulées, ne sera possible que lorsque les prochains sont mauvais et inhumains. Beaucoup échouent dans leurs vies, parce qu’ils ont à  faire avec des gens innocents pour lesquels Dieu ne cherche pas les revers de la vie.

Les vœux des êtres humains qui vont à l’encontre de la volonté ou des programmes de Dieu, ne s’exauceront nullement. Certes les programmes ou les décrets de Dieu sur la terre s’avèrent sublimes et exécutables d’office. C’est pourquoi certains vœux s’avèrent difficiles à exaucer à la part de Dieu ; mais d’autres s’identifient justement à sa volonté ou à ses programmes classés dans ce glorieux calendrier naturel.

Faut-il pouvoir et savoir profiter des informations avant d’agir, surtout concernant une situation ou une personne quelconque, avant d’agir ; mais les culpabilités des êtres humains se démontrent à leurs comportements injustes quant à l’existence dans la société. Et, celui qui vit sans discernement, voila finira dans toutes extrêmes régressions sociales. Ne faut-il aussi juger les prochains, voire injustement en fonction de soi ; si l’on est mauvais ou raciste ou malveillant, cela ne veut dire que tout le monde en est ; certains peuvent aussi bien être mauvais, à travers des raisons justes.

Se rendre supérieur nullement aux autres, sans rien d’évidence,  et dans les pratiques de bassesses, c’est une pratique souvent courante aujourd’hui. Faut-il ainsi esquiver les façons d’exister inferieurs et surtout les pratiques de bassesses, comme nuire injustement, se rivaliser ou se rendre méchant ou malveillant injustement.

Les gens compliqués mais hautain, se faisant toute folie de grandeur, croient qu’agir en cachette, à l’insu  des prochains, n’est pas faiblesse, ou actes d’infériorité. Faut-il se rendre juste et innocent, et ne se rendre hautain ou supérieur, que justement.

Les gens d’aujourd’hui se glorifient des faits ou des pratiques honteuses ou abominables, croyant en être admis, mais aux yeux des prochains coupables. Au naturel, c’est devant les coupables que les pratiques ou comportements abominables sont appréciées et élevées.

Porter des mauvais caractères sur l’autrui, de malhonnête, de jalousie, de vol, de malveillance, de racisme, sans aucune  raison ou signe évident, sinon que, par le biais  des simples informations ou des jugements infondées, pleines d’aberration. Ce ne sont que les gens coupables , sans moralité et conscience qui le font, se comportant ainsi. Ainsi, l’on ne devient nullement coupable par simple information, ni par arrangement, sinon par le concret, à travers des verités concrète.

Croire que les prochains sont contre toi sans aucune raison évidente, ce sont des aberrations récurâtes qui assaillent la plus part des êtres humains de la terre. Ce ne sont que les gens coupables, aux mentalités, consciences et moralités faibles qui si leurrent ainsi. En verité, l’on ne doit s’y inquiéter si l’on n’a pas nui a autrui ; et les êtres humains qui se mettent injustement contre leurs prochains, demeurent les plus fautifs et inferieurs aujourd’hui. C’est une signification impure de l’existence humaine, malgré ce mal n’est pas tenu en compte par les êtres humains.

Pour triompher sur son prochain, faut-il utiliser des procédés des moyens ou des voies que ce dernier trouve ou trouvera plus haut ou plus considérable ; ne faut-il pas passer user des procédés qu’il trouve plus bas. On dit, le riche méprise le mendiant ; mais on ne dit que les canards qui sont dans la concession du mendiant lui méprisent aussi.

Le changement rapide d’opinion, d’avis, ou des conventions, voire à travers des simples informations, devient l’extrême faiblesse de la plus part des êtres d’aujourd’hui,  au point que l’on est très facile à décourager, à désorienter et à dérouter sur l’itineraire de la justice et de la verité ; donc le cœur et le cerveau faciles à s’animer et à désorienter, devient suffisamment proie des pouvoirs maléfiques. L’on a tellement consommé les coqs, que les gens disposent maintenant des consciences de coq, pour qui, n’est plus important que la proie, les grains trouvés. Et, voire, le plus étonnant de tout cela, est que les gens ne deviennent conscients de leurs états d’esprits, et devenant sans cesse proie des mauvais chemins, ou des déroutes, sans pourtant situer les verités et les raisons des choses.

Vivre avec les gens coupables, confère, si tout s’avère inévitable, de veritables leçons de la vie, des leçons si chères qu’elles conféreront de veritables notions de dévoilement de l’inconnaissance, ou des discernements du bien et du mal. Si L’on est juste avec les prochains, tout ce qui viendra d’eux, de bien et du mal, sera profitable si tôt ou tard que cela fera. Faut-il beaucoup faire attention avec les prochains qui ont injustement agi contre soi.

L’on ne doit approcher aux gens pervers, sinon à condition qu’on réussira son travail tant soi peu avec eux, et que, mêmes si des échecs s’en sortiront, mais que rien ne soit de notre faiblesse. Ne faut-il approcher les gens qui ne veulent pas sa présence, ou qui ne partagent sa raison de présence, sinon par extrême nécessité. L’on ne peut si bien approcher aux gens que l’on trouve suffisamment inferieur en mentalité et moralité, pour toute raison d’orientation. Ne faut-il pas céder aux prochains de faibles existences inconscientes, surtout ne disposant d’aucune raison d’existence digne et innocente dans cette société.

Prendre injustement la part d’un coupable, se lier aux fausses causes et fausses raisons, non par extrême nécessité, mais amoralité et immoralité, c’est une culpabilité humaine dans un corps souvent impur.

L’association étrange aux pratiques des pouvoirs maléfiques, surtout comme moyen de réussite de la vie, c’est un moyen de la fragilisation de la descendance et des progénitures. Ainsi, une dépendance totale aux maraboutages ou aux fétichismes, c’est une source de la dénaturation de la lignée sur l’itineraire normale de la vie, surtout que tout soit par le biais des démons et des esprits maléfiques.

Faut-il s’opposer, ou combattre son prochain, parce ce qu’il mérite d’être vraiment être combattu et opposé ; mais, de nos jours, il n’y a que des êtres humains qui nuisent injustement. Pourtant, l’on ne bénéficiera que des mauvais profits, passer sa vie ou son temps à nuire à son prochain. Ne triompherons jamais sur la terre  de Dieu, les personnes coupables, agissant surtout en cachette contrairement à la décence.

Ne faut-il précipiter à juger en mauvaise part son prochain, avec des qualités entendus, qui lui sont  pas surtout équivalentes. Certaines informations doivent être comparées et évaluées, pour qu’elles aient toutes liaisons ou ressemblances.

Se comporter sans discernement envers son prochain, dans la non distinction du bien et du mal dans les pratiques, et sans aucune attention, comme des victimes des dépressions mentales, ce sont des défauts humains qui font ravages , de nos jours.  A savoir, la plus part des êtres humains se comportent comme des marionnettes, des robots ou des poupées, sans aucun discernement dans leurs différentes vies.

L’on ne doit pas s’opposer, ou faire la guerre, à celui que l’on n’a pas averti, ou n’a pas prodigué des conseils fatals. Mais, en ce jour, il n’y a que des gens, tellement étrange, s’il suffit que des informations naissent, qu’ils s’y fieront sans discernement. A savoir, pourquoi accepter rapidement pour un menteur, sans moindre doute,   celui que l’on n’a pas connu, ni de près, ni de loin, dans ces attitudes de bassesses. Pour eux, s’il suffit qu’ils entendent des gens en parler, ils s’y fieront sans détour ; c’est coupable d’agir si précipitamment ainsi.

Les êtres humains, qui n’ont pas l’esprit de partage, de sagesse, de pitié, d’existence innocente, voire injustement, et surtout en préférant la souffrance des prochains, sans pitié, ne sont pas pure créature humaine. Les êtres humains décents, remplis des veritables vertus humaines ne disposent pas de ces façons pervers.

Une ethnie ou une race pure, doit-elle exister au dessus des choses abominables. Il ya peu qui se ressemble à ces critères vraies des vrais êtres humains. Etre nocif, malveillant ou malfaisant, ou pratiquant des choses de bassesses, surtout injustement, ne sont des valeurs vraies d’un fils d’Adam. Toute personne dépourvu de bonne sagesse moralité, mentalité et conscience, n’est pas veritable être humain dans son extrême pureté. Ainsi, adopter des attitudes indécentes, avoir la manie de faire des actions honteuses et abominables, n’est pas veritable qualité digne d’un être humain. Nuire injustement à son prochain, ou à un groupe de travail, y porter des embûches, y adopter des attitudes malveillante pour toute volonté d’échec, n’est veritable qualité vraie d’un être humain.

Certes, celui qui se sépare justement avec son prochain, surtout avec justice et verité, dispose de forte chance de rencontre, ou de proximité si tôt ou tard que cela fera. Les gens vivant fort terriblement avec leurs prochains, disposeront de moindre chance de rencontre, que les destins s’avéreront difficiles d’être liés dans le futur.

Ne faut-il porter atteinte à la dignité, ou humilier injustement les prochains,  et ce, malgré tout, s’attendre à la réconciliation ou à l’amitié ou à la connaissance. Il y a des comportements inhumains, qui nuisent fatalement aux relations parentales, à l’amitié et aux connaissances.  C’est pourquoi, faut-il esquiver entre les vies humaines, des actions si injustement faites, ou des manières si flagrantes et blessant la dignité et la moralité.

Pour soustraire des désirs du cœur,  faut-il s’en priver au fur et à mesure. Les vœux mal accueillis dans le cœur, ou des comportements si injustes et flagrants, entre deux personnes,  annihilent les vœux, l’humanisme que les uns éprouvent aux autres.

Pour surpasser son prochain de taille, faut-il employer des procédés superieurs, que ce dernier considère ; et si l’on veut se lui manifester à travers des relations sociales, choisis au moins des personnes que ce dernier trouve supérieur ; si c’est à travers des objets, nanti toi de ceux qui sont attirants et merveilleux. On dit le chat aime toute viande, mais pas celle que le chien a choisi le premier. Pour savoir cajoler les prochains, passe à travers des procédés qu’ils leurs sont superieurs.

Lutter quelqu’un dans son bien semé et récolté,  ou chercher à partager ou à se procurer injustement des biens que les prochains ont cherché, n’est pas une bonne qualité vraie d’une veritable créature humaine. Et, surtout marcher sur le chemin de quelqu’un, et malgré, se  dire être adversaire de lui, n’est pas veritable aspect humain. Et, pourtant c’est ce qui devient plus courant aujourd’hui ; et pourtant, les adversaires ou les ennemis sont ceux qui progressent sur le même itineraire.

Profiter de la générosité, de la sapience, de l’indulgence et de l’intelligence des prochains, pour chercher à les nuire, les ériger des guets-apens ou les trahir, n’est-ce pas  une qualité d’une veritable créature humaine. Les êtres humains se croient supérieur, avec ces attitudes ou manières si inconscientes. Au naturel, une créature pure en mentalité, en moralité et conscience ne se prendra aucunement de telle manière.

Au naturel, l’on ne doit pas vivre ou exister avec les prochains qui nous sont contraires, quoiqu’elles soient de n’importe quelle valeur ou prestige ; n’est pas ainsi à espérer à travers celui avec qui des situations abominables se sont tournés, surtout au cas où tout fut résulté d’une certaine grande injustice. Du moins, chercher à accoster les gens contraires pour les orienter du chemin de l’existence injustice,  cela s’avère être aussi bien évident.

Juger son prochain si inconsciemment : rapporter le défaut ou les mauvaises qualités d’un autre sur le premier. Il n’est pas dit forcement que les gens vivant ensembles sont de mêmes caractères et défauts. Les gens peuvent exister ensemble, mais suffisamment contraire en existence interne ; et voire, l’on peut si bien constater cette différence de leurs manières de vivre et exister. Il n’est pas que les gens vivants ensembles disposent des mêmes degrés de vœux ou d’appréciations. Mais, faut-il seulement que les gens vivent ensemble, pour qu’on les prenne de la manière.  L’on peut si bien les prendre de la manière aujourd’hui, car Dieu souvent ne laisse s’unir longtemps les gens différents par rapport  à Lui.

Tenir ou considérer ce qu’on l’on a entendu par suite des informations, et ignorer quasiment les réalités du terrain, est-ce une veritable faiblesse de l’existence. Tellement que certains êtres humains sont pervers, qu’ils ne peuvent plus juger de leurs propres esprits,  qu’on les tourne ou qu’on les retourne de toutes manières. Ne Faut-il aimer ou préférer  son prochain jusqu’à lui accepter des choses ou comportements inhumains ou si coupables. C’est de la méchanceté,  du manque de conscience, du civisme, de la mentalité et de la moralité. Et pourtant, manquer de ces vertus sacrés humains, ce n’est pas être un veritable être humain. Ceux qui volent dans l’air, sont oiseaux ; mais tous les oiseaux ne sont pas les mêmes. Aujourd’hui, à travers la terre, l’on se demande pourquoi certains gens sont si animés de supériorités des prochains, alors qu’ils sont dépourvus de toute sagesse, conscience, moralité et mentalité dans les manières de vivre. Nous vivons l’air des consciences matérielles, où les recherches des biens ne sont que celles qui sont fondamentales chez les êtres humains.

Ne prendre en considération que des jugements ou des nouvelles apportées par les gens innocents. Ainsi, pour juger  son prochain, ne faut-il pas se fier à ce qui est apporté par les ennemis  ( qui veulent injustement son échec) de ce dernier ou les dits de ceux qui rêvent que tout le monde soit coupable, vu de leur culpabilité. Faut-il savoir d’abord que tel rapporteur, telle personne n’est pas coupable, inconsciente, folle, raciste, idiote ou mauvais, possédée et toxicomane avant de considérer les informations envoyées.

Ceux qui vivent avec vous ne doivent être considérés ou pris injustement pour ennemi, pour adversaire, mais comme vos amis ou comme vos parents éloignés. Aujourd’hui, les fils d’Adam mènent des existences si perverses qu’ils ne peuvent plus vivre maintenant innocents avec leurs voisins. Maintenant, l’on croit que, n’est ennemi que celui qui vit avec soi, que l’on cherche à nuire et piéger injustement. Ces échecs liés à l’existence sociale témoignent cette décadence de l’existence humaine.

Pour continuer à être préféré, aimé, supporté, ne faut-il commettre ce qui est déplorable, indigne et inhumain à l’égard de son prochain, voire si injustement. Tout ce qui puisse activer la haine ou la colère doit-il être esquivé entre les prochains, sinon ce qui s’annonce fatalement et justement. L’on croit juger tout le monde de la même façon, cependant que les êtres humains soient divisés en caractères, en vœux, en convoitise, par rapport au degré, la mesure, la retenue ou l’abstinence ou à l’éviction. Pour maintenir ou avoir les hommes, ne fait pas ce qui les éloigne ; mais, malgré, il y en a des personnes aujourd’hui qui n’aperçoivent que  l’ethnocentrisme ou le racisme pour se croire tout permis, et  surtout en manipuler tout le monde. Pourtant, l’être humain le plus épanouis ne sera que celui qui est innocent et utile aux yeux de tout le monde.

L’illusion d’existence sociale les plus terribles en ce temps, voire celle devenant proie des êtres humains pervers, aux consciences, mentalités et moralités suffisamment basses, c’est porter un caractère ou un défaut sur son prochain, qu’il ne mérite pas, accepter des faussetés autour des prochains ; ainsi être conscient que tel dit, ou tel propos s’avère faut, mais malgré, en accepter pour nuire,  ou que telle situation soit passée. Un être humain digne ne dégustera aucunement le faux ou l’illusion, sinon par extrême nécessité.

Dans le racisme ou l’ethnocentrisme, il n’y a que des uns qui agissent, et les autres deviennent victimes. Ainsi, dans une ethnie ou dans une race, ce n’est qu’un groupe qui se manifeste, mais, en fin, nuit à l’ensemble. Telle demeure les conséquences de ces attitudes impurs humains, que les plus capables, ou les plus racistes ou ethnocentristes nuiront à l’ensemble. Est-ce pourquoi, ne faut-il se souder si injustement, sinon il n’y aura que des revers et des perdants. La meilleur existence, c’est considérer le milieu ou le travail pour second parents ; a savoir, les gens vivant avec soi dans un milieu, ne doit être pris, sinon comme frère, ou comme ceux ce que Dieu a décrété le voisinage et l’approchement ou la coexistence sociale. Mais, l’ignorance du destin jusqu’à présent dans beaucoup d’endroit, fait que les êtres humains se nuisent et continuent à diminuer la chance, les mystères de la proximité et certains destins dans le bien. Mais, qui est plus admis que celui qui vit innocemment et justement avec les prochains.

Faire l’apanage injustement de ses charmes, avoir la manie de se faire voir injustement, ou de se faire supérieur chaque fois à l’autrui, sans circonstance, ni raison juste, consiste à se diminuer ou à se rabaisser. Ces comportements inhumains ne réussissent que devant les êtres humains, qui ne croient en rien, ou qui ne voient en rien en leur dignité, vivant ainsi comme des débris aux yeux des autres. Ces pareils gens deviennent plus nombreux, qui ne vivent en rien, sinon qu’esclave des passions ou des ambitions ou des vœux immodérés. Il n’y a que des gens impurs cherchant à s’indigner, à pratiquer des choses abominables, qui se mettent au dessus de tout le monde en ce jour.

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Le plus souvent, les actions graves sont aux conséquences plus sérieuses, et aux actions moins graves par rapport aux résultats moins payants. Pour agir très mal, voire si injustement, faut-il s’attendre aux conséquences de toutes les manières, chez le Créateur, qui a ordonné le bien, et à interdit le mal fait.

Les êtres humains demeurent aujourd’hui à manipuler, donc très facile à tromper, ou à nuire, qu’ils changent très rapidement et nullement de positions, et ce, sous l’emprise des mensonges, des informations fallacieuses, et du fait de leur faible d’esprit et conscience à agir si faiblement avec les prochains. Etre tout temps victime des mêmes sorts, comme un animal, oubliant les choses précédentes, comme dénié de cerveau pour pouvoir bien distinguer, c’est ce qui a ridiculiser la plus part des êtres humains, ainsi possédés par suite de leurs faibles d’esprit et cruautés mentales et morales. Si les choses précédentes, ou venant de passer, étaient tenues en compte, beaucoup se seraient passé des mésaventures de la vie.

Il n’y a que des gens, compte tenu de leurs faibles d’esprits et consciences, ou leurs indignités grandissimes,  qui combattent injustement leurs prochains à cause de leur innocence, de leur éloignement du monde de mal, ou et surtout pour le fruit de leur travail. IL n’est pas un être humain, celui qui combatte un paysan qui s’est taillé une daba en pierre, et qui a cultivé dans une terre aux plantes épineuses, et a subi en conséquences toutes souffrances de défrichages, jusqu’aux semences et aux récoltes, pour leurs fruits. Nuire son prochain injustement dans ses œuvres menées justement, c’est une sombre inconscience des êtres humains qui ne voient que le mal et l’échec des choses. Vaut mieux vivre avec un animal, que de vivre avec les gens qui se comportent ainsi, qui ne veulent pas notre effort et surtout qui ne veulent voir, ni plus, ni moins leurs prochains s’épanouir. Ce sont les aspects physiques qui trompent sur cette terre aujourd’hui, sinon des êtres humains si impurs que leurs mentalités et moralités deviennent plus impures à mener des manières et des comportements de bassesses, sans pourtant réaliser le mauvais état d’existence social dans lequel ils sont assombris. Pourtant le savoir-vivre et le savoir faire, ce sont des vertus qui ont faits les Prophètes et les Messagers des grandes créatures humaines de l’univers.

Si l’on vous présente un événement, et que vous devriez juger pour connaitre son veritable issue, faut-il pouvoir bien évaluer le motif ou la raison d’être ou le sens ou la cause première de tout, et surtout savoir étudier les mentalités ou les moralités ou les etats des rapporteurs. Il n’y a des gens coupables qui rapportent qui disent du mal injustement des autres ; et se fier aux dits de ces gens, c’est se plonger dans toutes vies aventureuses, sans discernement du vrai et du faux.

Se doter de l’espoir d’un sorcier, c’est mener à néant sa vie ; la proximité à une chose, à un bonheur ou à une chance, ne veut pas dire de fois  leurs possessions sûr ; ainsi, il y a des choses, qui, quoique s’en est proche, mais si l’on manque de dextérité et de savoir-vivre ou faire, l’on risque de tout perdre.

Il n’est pas pure mésaventure et source de déroute ou d’égarement, que lorsque, pour connaître son prochain, l’on cherche conseils chez les ennemis de ce dernier, ou que l’on bénéficier des informations à travers des gens méchants et aussi de très moralités, mentalités et consciences fortement basses et faibles. Cette mésaventure sociale, c’est ce qui a ruiner injustement les rapports entre les gens dans les sociétés, que les conseillers, voila, deviennent plus mauvais, très prompts à dérouter.  Et pour juger entre deux personnes qui n’existent pas dans le même lieu, surtout lorsque l’on veut vraiment connaître la verité, ne faut-il se fier ou se contenter seulement uniquement des dits de l’une d’elle sans en tirer la veritable logique. Le plus gravissime, c’est de se contenter par extrême culpabilité de l’emprise ou les manigances de l’une, sans tacher à découvrir la position de l’autre : ce ne sont innocents des gens qui se comportent ainsi.

Les dits  ou les simples informations ou les diffamations, sans indexation, ne peuvent  situer efficacement  les auteurs d’un fait. L’on ne peut être coupable ou mauvais à travers de simples propos ou à travers des manifestations abstraites, sans pourtant situer exactement les coupables. Ne faut-il pas accepter si facilement la culpabilité d’une personne, qui, pourtant, sous tes yeux, demeure loin des pratiques coupables. Ainsi, pour telle circonstance, vaut mieux se douter, que d’accepter tout à la seule réception d’une information, pouvant si bien être fragile.

Les affaires charnelles ou sexuelles ont tellement terrorisé les gens, que l’on n’en tient compte plus des liaisons sociales, ou certains liens sacrés. A cet effet, la plus part des gens vivent dans la honte, sans aucune existence digne et respectueuse. Aujourd’hui, le plus gravissime, est que l’on préfère perdre des amitiés ou des bonnes relations, que de laisser une simple occasion de lien charnel. Et, pourtant, si l’existence des gens est commandée de ces fausses emprises, comment tout sera susceptible de s’épanouir sur le chemin de la justice et de la verité. Au reste, aujourd’hui, certains se croient plus forts et puissant lorsqu’ils deviennent plus fréquents dans ces pratiques abominables. Ce n’est pas ça la force de l’être humain. Pour être plus fort, faut-il se nantir de ce que veulent les prochains dans certaines utilités, s’en sortir ainsi plus capable, ou encore obtenir une capacité de réduction au respect et à la soumission des prochains dans le bon sens et dans l’innocence, donc justement, et non dans la pratique du banditisme.

Profiter de la sagesse ou de la bonté des prochains pour les signifier très mal, voire très injustement.  C’est une faiblesse sociale, à base d’une mentalité, moralité ou conscience fortement inferieur.  Et, pourtant, celui qui a peur de toi, tu le saura ; celui qui te veut du malheur, ou du bonheur, tu le sauras ;  celui qui t’obéit par respect ou par peur, tu le sauras ; mais l’on devient si cruel à très mal voir les gens dans leurs différentes attitudes.

L’être humain ne doit être critiqué qu’à travers ses propres défauts ou faiblesses, et non par rapport à celui d’un autre. Certainement, chacun doit être apprécié de ce qu’il est, de ce qu’il fait, et non par rapport à ce qu’est son prochain. Et, voire, tout le monde ne peut disposer des mêmes appréciations ou amours par rapport à telle chose, ou à telle personne. A savoir,  c’est ce qui est bon pour toi, peut être si bien mauvais ou moins bons pour autre ; mais pas forcement les mêmes niveaux d’appréciations ou de sentiment. Et, plus généralement, cela dépend de la nature de la chose à apprécier, ou sa représentation : de fois contenant des éléments divergents. C’est ce qui indique que tout le monde ne peut disposer des mêmes degrés de vœux ou de désirs ; certains aiment tout repas ; mais  d’autres n’aiment pas tous les repas. Encore, ce n’est pas forcement que les gens vivants ensembles peuvent être des mêmes qualités ou défauts, ou  peuvent être coupables ou innocents en mêmes temps. Faut-il ainsi situer les gens, quant à leurs propres significations, à travers à leurs veritables valeurs ou caractéristiques. Cette carence  de compréhension des prochains, est devenue sources des fameuses mésaventures spirituelles, que l’on ne vit qu’autour des tromperies et des perditions.

L’on n’a du mal d’une chose ou d’un  bien, que lorsque l’on en aime dans le manque, ou l’on a cherché ou l’on  en a cherché sans en avoir gagné, ou que l’on en a manqué malgré nos différents quêtes. Mais, au cas contraire, l’on n’aime pas aucunement, ou que l’on n’est pas totalement saisi des vœux et des préférences.  Tous les cœurs sont endroits de vœux, mais tous les cœurs ne sont victimes de tous les vœux si efficacement, ou si rapidement.

Il n’est inconscient que celui qui veut égaliser son prochain dans le fruit de son travail, dans ses biens ou argents cherchés avec bravoure. Ainsi, devant les biens d’autrui, faut se lui soumettre pour pouvoir en bénéficier ; et non lui contrer pour qu’en afin   bénéficier de tout, et ce, même si serait un veritable lien. N’est pas se rendre hautain, ou orgueilleux, c’est pouvoir bénéficier de beaucoup de chances des autres. IL n’est pas facile d’aider celui qui est contre toi, ou celui contre son travail.

Certains vœux ne sont pas facile à dissimuler, une fois que tout soient emparé du cœur. Les êtres humains s’y manifestent ainsi, une  fois qu’ils se trouvent au-devant de tout. C’est ce qui laisse à témoigner que l’on mendie ou s’intéresse souvent à ce que l’on aime pour en bénéficier. L’on ne s’approche souvent à certaines choses que l’on n’aime pas.

Avoir la manie de se comparer aux autres dans leurs façons d’êtres ou  dans leurs manières de vivre, sans cause, ni raison solide, sinon par jalousie ou d’autres raisons dérisoires, n’est pas toute qualité digne d’un être humain. Certaines personnes  vivent faiblement, et, aucunement, ne se laissent sortir des comportements dignes. Mais, l’on ne dit pas seulement que ce sont les riches qui pussent exister dignement sur cette terre. Les petits esprits de se mesurer ou de se rendre jaloux, ou de tout savoir injustement sur les autres, est-ce une veritable impureté humaine.

Manque de certaines sagesses naturelles : retenue, modestie, patience et abstinence, signes d’impuretés humaines. Faut-il se contenter de soi et laisser les autres vivres avec leurs biens, mêmes par manque de charité ou de générosité. Certains besoins s’avèrent être inévitables à l’être humain, mais malgré tout, faut-il en chercher avec intelligence, sagesse, conscience, moralité et mentalité : est-ce une veritable maturité spirituelle.

Faut-il savoir bien vivre avec les prochains dans un même lieu, avec une telle sagesse, moralité, mentalité et conscience, le tout dans une extrême justice, avec de veritable esprit de discernement. Ainsi, son prochain de faible conscience, moralité et mentalité, faut-il se lui situer toujours dessus sans pourtant se lui imiter dans les manières si bizarres. Certains êtres humains ont un manque de conscience à bien exister dignement ou logiquement avec leurs prochains. Il est inutile de se rendre supérieur, parmi les gens qui ne veulent que nous apercevoir dans la faiblesse, voire si injustement. Certains agissent injustement avec leurs prochains sans aucune justice.

Les gens qui ont bien existé dans un même lieu, auront la forte chance de s’être indispensable directement ou indirectement, voire se rencontrer à ailleurs ou dans un autre milieu, surtout lorsqu’ils se sont bien quittés ou qu’ils ont bien vecu avec certaines vérités.

Les critiques ou les censures, ou encore les formes de diffamation, ne deviennent plus indispensables que lorsqu’ils sont bien mérités. Les prochains vous critiquant justement, sachent faire la part des choses, afin de se rendre innocent. De ce fait, ce n’est pas au compte de son prochain que l’on doit devenir innocent, ou que l’on doit chercher à être innocent.

L’être humain se doit de se donner des leçons ou encore de se faire des constats en se posant de fois des questions. Comment les gens apprécient nos comportements ? Comment ils en jugent bons ou maux ? ILS en sont mecontents ou heureux ? Je suis en culpabilité avec les gens, ou j’en suis innocent ? Mais agir bêtement avec les prochains, ce ne sont que des sorts terribles.

Faut-il pouvoir situer son prochain dans son état de cœur, pour n’est pas seulement considérer   ce qui est de son cœur. Certains êtres humains ne connaissent que leurs cœurs, et ne soucient aucunement de ceux des prochains, pourtant vivant avec sagesse, bonne moralité et bonne conscience, croyant seul pouvoir nuire et agir. Faut-il vivre avec sagesse et intelligence.

Si l’on quitte un lieu pour un autre, faut-il pouvoir faire la part des choses ; comment les gens trouvés  vivent-ils entre eux,  par leurs côtés bons et leurs côtés faibles ; qu’est ce qu’ils se laissent ou pas. Ainsi, ne faut-il se sembler rapidement à eux, sans pourtant connaître la verité, ou le veritable chemin à suivre. Pour cela, si Dieu le veut, l’on en connaîtra diligemment. Mais, certains humains, partout où partirons, montrerons leurs faiblesses ou leurs culpabilité à n’est pas pouvoir bien faire la part des choses, surtout s’ajoutant si promptement à un groupe coupable.

Ce n’est pas au moment où l’on est dépisté que l’on doit tacher à esquiver ou arrêter un mal fait. Celui qui vit dans la culpabilité, doit-il savoir inévitablement être entrain de faire du mal à autrui, même si l’on n’en est pas dépisté. Si l’on diffame ou censure ton prochain à votre présence, ne faut-il pas s’y fier rapidement, sans pourtant en faire la part des choses. Contrôle l’état mental et  moral des véhiculeurs des nouvelles ou des informations, ou de ceux qui parlent mal des gens, leurs culpabilités et leurs innocences, avant d’accepter leurs propos.

Réaliser que ce que l’on est entrain de faire n’est pas bon, surtout des mauvaises actions contre son prochain, mais s’entêter à le faire ; au départ, les gens le faisaient bien sûr, mais sans s’en attendre à une rémission ou un effacement ; parce que, ils en faisaient à cœur fermé ou objectivement. Mais, aujourd’hui, quoique les gens s’entêtent à faire du mal, ou à nuire, ils s’attendent à une bonne issue ou rémission, à la part des victimes. En fait, c’est agir inconsciemment, sans pourtant savoir que certaines mauvaises actions ou certaines nuisances, ne sauront facilement effacé dans le cœur des victimes. Faut-il se préserver à agir négativement, tout s’en attendant à des bons résultats.

Tout être humain qui voudra réussir par Dieu dans sa réussite sociale, ne doit pas aucunement se nantir des mauvaises intentions ou des intentions criminelles dissimulées, et surtout pour une situation sur laquelle l’on veut triompher. Au naturel, Dieu aide rarement les personnes à mauvaise intention ou à dessein néfaste, et ce, sinon que, tout soit parmi les mécréants.

Ne faut-il pas aimer tes parents ou ton ethnie ou ta race, d’une façon si injuste, voire en mauvaise part, et jusqu’à ce que s’en induire dans l’erreur ou dans l’extrême malheur. IL n’y en a des gens qui  vivent si injustement, qui deviennent ethnocentrisme ou raciste, sans aucune raison, et ce, du fait qu’ils veulent seulement s’y aventurer dans la vie. L’ethnocentrisme ou le racisme n’est valide que lorsqu’il mérite d’être montrer. Mais, certains, que ce soit ou non des moments du racisme, ils se montrent toujours racistes. Et, pourtant, je vous le dis, ceux qui se comportent sont loin de la pureté humaine. Un vrai être humain, ne montre aucunement du racisme ou de l’ethnocentrisme dans le néant, sans qu’il ne vive sous l’emprise des prochains racistes ou ethnocentrisques.

L’un des plus pures mésaventures sociale ou spirituelle, c’est de ne pas pouvoir distinguer le,   bien du mal, les amis de ses ennemis, des bons conseillers des mauvais alliés ; donc prendre par conséquent les amies pour ennemis, ou les ennemis pour amis. Chercher le conseil chez ton contraire, ou vivre avec les contraires, c’est des plus pures existences sociales. IL n’est pas dit de s’éloigner fatalement des gens mauvais, mais faut-il savoir vivre consciemment avec eux. Les gens aux consciences ou aux moralités basses, vivront fatalement d’une façon inferieur et non digne dans la société. Il ya des gens qui ne vivent que pour nuire à leurs prochains, dans aucune logique d’existence sociale. IL y a aussi des gens qui ne deviennent que proies des petits esprits ou des petites consciences des prochains, comme s’ils ne sont pas des êtres humains qui réfléchissent, qui analysent et distinguent les vraies du faux.

Ne Faut-il se fixer une supériorité étrange, tout en cherchant à inférioriser injustement, sans que cela ne soit des verités bien évidentes et bien visibles. Le monde est plein des gens qui ne se contentent que de leur appartenance à une race ou une ethnie pour se doter d’une supériorité injuste, que, Dieu, pourtant, n’a pas conféré naturellement.

On a du mal à comprendre les gens qui ne s’associent à ces fornications ou ces sexualités étranges  dans leur raison ou dans leur méfiance, comme si, tout demeure les nouveaux humains. Pourtant, certains défendent leurs parts sacrées, d’origines différentes, et d’autres ne veulent pas faire les mêmes usages, vu des respects qu’ils accordent à leurs personnalités ou leurs fonctions.

N’est plus leurré que celui qui minimise injustement l’esprit ou la moralité des prochains, surtout du fait que ces derniers ne leurs sont ressemblés dans leurs pratiques terribles. Celui qui  croit son esprit supérieur injustement à celui d’autrui, se perturbera aussitôt dans sa vie ; de ce fait, faut-il pouvoir mesurer le niveau de mentalité et de moralité des gens, avant de leur ressembler ou de les juger. Pourtant, celui qui se croit supérieur, mais qui raisonne comme des poules, ne doit pas en être. Il n’y a que des gens qui des esprits faibles pour nuire, donc dépourvu de raison de vivre : ce ne sont des vraies êtres humains.

Considérer deux personnes qui ne cheminent pas sur le même chemin pour des ennemis ou des adversaires, est chose qui devient toute faiblesse morale et mentale des hommes. Ainsi, ce n’est pas du fait que l’on parle ensemble, ou qu’on vit dans le même lieu, que l’on est des adversaires ou des ennemis. Deux qui ne suivent pas les mêmes choses ne sont aucunement des  adversaires. Les personnes  adversaires sont apparents et visibles, et non celles qui ne te ressemble à rien. Se mettre sur le chemin de son prochain et lui prendre pour ennemi, n’est pas une bonne chose, est-ce une veritable inconscience.

Les gens qui ne calculent rien, ne mesurent ou n’analysent rien dans leur vie, qui mènent toute vie  aventureuse,  sans pourtant chercher les raisons de certaines choses,  qui changent leurs esprits comme ils se changent des habits,  demeurent les plus nombreux aujourd’hui. Rester sans rien analyser, ne vivre que des choses entendues, des dits ou des informations pourtant étranges, mènent les êtres humains vers des sorts terribles, sans rien de prise de conscience. Il ne sera Rien d’être mauvais dans la recherche de la verité, ou de vivre dans la justice, car on le fait pour soi-même ; connaître très mal son prochain, même pour triompher, sera très difficile ; il y a des gens qui se glorifient du fait qu’ils sont très traites, malveillants ou ethnocentristes ou racistes, mais ils continueront à s’aventurer dans leurs vies.

Les gens qui  se rendent hautains, injustes ou inhumains ou supérieur injustement, verront leur survie au près des êtres humains impures. Pourtant, savoir bien vivre et bien faire, c’est le fondamental pour l’être humain ; sinon tout basculera et ne s’associera en fin qu’aux semblables,  ceux qui ne croient qu’à la nuisance. Et, voire, comment les êtres humains ne vivant que des pratiques abominables vont-ils se placer au dessus de leurs prochains : telles sont les réalités de notre temps étrange. Pourtant, les faiseurs des choses terribles, pleines d’ignominies, ne doivent être comptés que dans ce cadre, sinon une société en décadence. Dans toutes sociétés où les fautifs ou les coupables deviennent plus nombreux, les choses s’y passeront virtuellement, qu’on ne saura distinguer les vraies des faux : le ciel s’y éloignera le plus souvent.

Un coupable, un fautif ou un faiseur du mal, ne peut exister sans inquiétude, ni peur, ni souci. Ainsi, Quelqu’un qui a problème, et même si a le cœur du lion, ne pourra s’en débarrasser des inquiétudes ou des peurs. Et le plus souvent, une personne sans inquiétude, peur et souci est plus souvent innocent dans une situation, sans avoir commis du mal à autrui.

Le  prochain, en ce jour,  qui  est généreux et bon, pris le plus souvent pour l’ennemi ou l’adversaire injuste. Telle façon d’être est celle des êtres humains pervers de façon horrible et impure d’existence. Pourtant, ce n’est pas à celui qui nous est bon, auquel l’on doit faire la guerre si injustement. Ce n’est pas la qualité d’un être humain pur et responsable.

Celui qui se réclame être descendant d’un roi ou des rois, d’un Wally, ou des personnes nobles , doit en avoir des comportements analogues, donc conscients, sages, dignes et admirables, même de fois pas dans la richesse. Mais, aujourd’hui, ceux qui s’en réclament par la bouche, sont ceux pratiquant souvent  des choses de bassesses,  avec des manières amorales et immorales à tout à travers.

Prendre la part ou la défense d’un coupable, du fait de son appartenance à une ethnie ou à une race, c’est ce qui fait ravage aujourd’hui au sein des sociétés. Pourtant, c’est un fléau qui n’arrange rien, que tourmenter les esprits, y cultiver des consciences ou des moralités faibles. Celui qui n’agit pas justement avec son prochain dans la société,  surtout dans des existences fatales, ne fera entrainer horriblement son existence vers les échecs sociaux, à la part de Dieu, le Seigneur de la justice et de la verité.

Toutes verités, ou toutes déclarations inattendues, mêmes si tout blesse,  l’entendeur doit-il en faire la part des choses. Mais, des gens  deviennent hostiles injustement contre les verités dont-ils méritent le fond. Pourtant, si l’on est corrigé des mauvaises choses,  que l’on ne s’en vexe inutilement, surtout par ceux qui  le méritent.

Les comportements ou les coups  les plus durs,  réservent des conséquences des plus durs et plus terribles. Celui qui est proche, a la plus forte chance de nuire, s’il plait à Dieu ; mais, aussi a la plus chance d’être victime et d’obtenir des plus grands châtiments. Par exemple, les plus proches des hommes de Dieu ont la plus grande possibilité d’entrée au paradis, mais aussi ont la plus grande faveur d’être noyer dans les ténèbres de l’enfer.

Nombreux demeurent des êtres humains qui prennent des réconciliations comme tout moyen de pardon ; mais ne faut pas que tout précède des actions flagrantes et fortement injustes. Ne faut-il ainsi agir si cruellement, si injustement pour qu’en fin s’attendre à être pardonné. Ainsi, agir sataniquement, terrorisé les cœurs des prochains et s’attendre à leurs pardons deviennent des choses difficiles, qu’il faut pouvoir tout ajuster ou effacé ; mais, il y a des blessures inguérissables, donc des actions qui ne cesseront d’indigner les cœurs.

Etres plus toujours victimes des mêmes sorts, de ses propres comportements, sans aucune prise de conscience, est chose qui demeure l’extrême faiblesse de certaines personnes. Leurs mentalités et moralités demeurent ainsi fragiles qu’ils ne parviennent à faire ainsi  la part des choses, ou à se juger par rapport à ses situations, et les causes ou les raisons évidentes en découlant. Et, le plus souvent, par faiblesses, par certaines considérations ou analogies fictives, voila qu’ils ne prennent que des causes ou des raisons dérisoires comme explicatives de leurs sorts terribles. Faut-il vivre en tant qu’être humain innocent, conscient et juste, sinon perdra toute raison d’être sociale.

Lorsqu’on se rencontre fatalement ou que l’on s’unit  avec les gens  inconnus, telle relation s’avère être bien mystique. A savoir, l’on n’existera jamais dans un même lieu sans qu’il en ait des raisons ou des parties ou des départs identiques. Ne faut-il s’y faire du mal, mais faut-il pouvoir s’y conduire décemment. Ainsi, même si, l’on n’y agit rien, mais faut-il bien mener la vie pour toute séparation innocente.

Pourquoi s’acharner à faire des comportements pourtant inadmissibles, inappréciables  et défavorables aux prochains, étant donné que l’on voudra bien vivre avec eux, ou encore bénéficier d’eux de certaines bienveillances. Aujourd’hui, certains êtres humains  si cruels, qu’ils demeurent ennemis de soi-même.

Toutes les lois et les verités de la vie se rapportent à tout le monde, à tous les êtres humains, de mentalité saine. Ainsi, chaque être humain doit à son prochain de respects, des largesses et de la justice. Ainsi, il n’est pas dit si tel est gros, grand, ou laid, qu’il ne doit être respecté dans son droit, dans sa raison et dans son travail. Le plus coupable, est celui qui enfreint ces règles, ou ne parvenant pas à bien vivre avec les prochains.

IL n’y a que des actes ou des comportements abominables qui néantisent les rapports sociaux, les amitiés, les ententes, les parentés et les interdépendances. Et, voire, même si tout persiste, mais se construira sur l’apparence d’existence sociale. Pourtant, n’est plus sombre que lorsque l’existence sociale soit assise sur l’apparence, sans rien de solidité, ni de conscience sociale.

Ne faut-il être contre le travail ou les rôles de son prochain, mais, malgré tout, s’attendre ou attendre de lui, tout gain ou profit. Les impuretés de certaines personnes se manifestent de toutes les manières au sein de la terre. L’on ne doit être pour et contre son prochain ; ne faut-il être contre son prochain injustement ; les gens s’en mêlent, mais rien ne relève de la bonne dignité et conscience.

Les conventions ou les choses convenus entre les êtres humains ne s’avèrent être évidentes selon les lois divines, que lorsqu’elles sont construites sur les itinéraires de la justice et de la verité. Le plus mauvais de fois  c’est de croire que la majorité à raison dans ses causes injustes et inadmissibles. Les conséquences de l’injustice sont plus effervescentes que les bombes atomiques.

Les êtres humains qui veulent dépasser leurs prochains dans leurs biens ou fortunes, ou fruit de travail, voulant se mettre ainsi au dessus d’eux ne sont pas dignes. Vouloir surpasser son prochain, non pas de ses propres efforts, mais par jalousie ou méchanceté de ce qu’il a cherché, n’est pas une qualité digne d’un être humain.

Deux personnes ne se concurrencent, ou veulent se dépasser, que lorsqu’elles suivent les mêmes choses, ou qu’ils se sont entendus être des mêmes positions. Mais, se mêlant des affaires d’autrui, et malgré tout, se dire être son adversaire, n’est  pas digne qualité d’un être humain. IL s’avère bon d’imiter ou de se comparer en bonne part , et surtout s’il y a des points identiques, mais non plus, prendre pour adversaire celui qui est loin en être.

Pour se rendre supérieur à son prochain, surtout socialement, faut-il se nantir des qualités dignes, exemplaires et appréciables aux regards. Effectuer des actions abominables devant les gens et en chercher leurs considérations, ne sera pas possible aux yeux des gens innocents, et non des gens d’existences pervers. Pour être considéré, fait des actions considérables ; pour se soulever, fait des actions de mérites, et non plus des actions abominables. Pour s’éloigner des mépris de gens innocents, sache se doter de bonne manière. D’aucuns veulent être appréciés ou mystérieux, quoiqu’ils en soient loin de ces étapes.

Se contenter des moyens abominables, au sein desquels tournent toutes moralités, mentalités ou innocences abjectes, ne sont pas solide et dignes d’un être humain. IL ne s’agit pas seulement de réussir, mais fie aux moyens justes et innocents.

Faut-il savoir comment les prochains vivent, surtout que nous avons trouvés dans un endroit. Ne Faut-il pas fixer un caractère ou une mauvaise qualité dont ils sont différents. Connaître bien son prochain, s’avère susceptible d’aider ; mais le contraire, c’est de tacher à se nuire à jamais. Nombreux demeurent des gens fixant aux prochains un caractère ou un défaut général ; pourtant, les êtres humains se différent autant, quoique certains vœux identiques, mais de degrés différents.

Avant de se glorifier d’un bien ou De quelque chose, cherche à savoir si tout le monde aime ce bien, ou  préfère ce pareil bien. S’enorgueillir de sa manière que les prochains détestent ou égarent, c’est la plus grave de l’existence sociale. Toi tu te  glorifies d’une chaussure,  d’une personne, d’une valeur ou d’une considération, que les prochains ne veulent même pas fixer leurs simples regards. Les vœux se distinguent souvent, à partir du cœur et de l’esprit, qui peuvent exister de multiples aspects. Ces organes sont mystiques, peuvent se distinguer autant des lois de la nature ou de la constitution humaine.

Si la malédiction de Dieu tombe sur un bien, ou sur quelque chose, il ne suffira pas jamais, quelque soit l’abondance ou son utilisation. C’est ce que l’on constate dans cette génération adultère. Il y a trop d’hommes, de femmes et de biens, mais les êtres humains, voila en deviennent de plus en plus envieux et insatiables, des veritables esclaves.

En ces jours, une qualité que l’on n’a pas,  c’est très difficile d’en découvrir, surtout lorsqu’ils existent chez les autrui. Les gens n’acceptent pas l’existence innocente, digne et véridique avec la peur en Dieu, parce qu’ils sont dépourvus de ces qualités dans le cœur. Est-ce pourquoi, il est difficile de situer la sagesse ou l’indulgence des prochains, qu’ils en sont réduits pour peureux ou coupables. Les faiseurs des choses innocentes sont pris pour coupables ; mais les veritables malfaiteurs et faiseurs des pratiques abominables deviennent plus sollicités et approchés.

Le genre humain se doit de se poser de fois des questions concernant sa vie et surtout ses rapports avec les prochains dans la société.  Pourquoi telle chose est ainsi ? Pourquoi telle personne ne se conduit ainsi ? Pourquoi les gens ne m’apprécient pas ? Les gens qui m’approchent me sont-ils compatissants et m’encourage dans la perdition ? Les prochains ont peur de moi, ou ils me sont sages et conscients ? Pourquoi les gens m’évitent ? Mes comportements  sont-ils appréciables ? Ai-je raison de me comparer aux autres dans leurs culpabilités ? Pourquoi j’échoue souvent ? Est-ce que je ne suis pas victimes de mes caractères inhumains ? Pourquoi certains gens sont prudents dans la jeunesse ? Pourquoi les gens  n’ont pas agi de ma manière ? Pourquoi les gens se plaignent autant ? Certes, l’on ne peut résoudre des problèmes que nous sommes incapables de résoudre, surtout tout soit involontaire et indépendante. Se vexer contre une route, alors que cheminent dessus de personnes impures et perverses, est-ce la plus imaginaire colère. Pour résoudre un problème, faut-il faire fasse aux gens qui mériter se s’employer ainsi. Mais, ignorer les auteurs des défis, le veritables meneurs,  et s’orienter aux autres, est-ce la plus grave perdition.

Faut-il être juste, sage et conscient de témoigner les bons côtés et les mauvais  côtés de son prochain. Mais, s’appesantir seulement sur les côtés favorables, n’est-ce pas la meilleur itineraire quant à la connaissance de la verité. Pour découvrir une verité, faut-il bien agir ainsi, à distinguer les bons côtés des mauvais, à évaluer, de ce fait, les teneurs des côtés forts et des côtés faibles. IL n’y a que des gens coupables qui jugent très mal leurs prochains, en ne considérant qui les points qui leur concernent, et piétiner les veritables points innocences. Pourtant, quelqu’un qui est connu pour coupable ne peut se comporter comme innocents. N’est vrai être humain que celui qui agit avec une telle conscience, moralité et mentalité saine.

L’on aime tellement son allié, son parent, ou son partisan de même ethnie ou race, que l’on accepte tous les mauvais conseils ou suggestions venant de lu. Etant un être humain, ne faut-il se leurrer dans les mauvais emprises de son prochain, de peur de subir tout échec social. Pourtant, celui qui se contente seulement de ses parents ou ethnies ou races, vivra difficilement.

Entendre quelque chose pour la première fois, n’est pas tout à fait une arrivée. Ainsi, ne considérer que ce l’on entend, alors que l’on voit rien d’évidence ou d’exact, est-ce souvent une veritable perdition, une qualité d’impureté humaine. La culpabilité de certains êtres humains s’évalue de toutes les manières à travers leurs existences.

Suivre une cause ou une raison apparente ou fictive, sans rien de solidité ou de concret, est-ce une veritable perdition, que l’on ne peut aucunement s’en sortir avec un tel éclaircissement ou bonne orientation. Mais, à dire vrai, ne sont mauvais que les personnes qui se basent des simples mots pour agir, dans une situation inexistante et pleine d’apparence.

Des injustices ou des comportements horribles ou des veritables foutaise ou manque de respects, concourent à l’indignation ou à l’activation des colères d’autrui. Celui qui te veut, tu le sauras ; celui qui veut vivre avec toi tu le sauras ; celui qui t’apprécies-tu le saura. Celui qui est contre ton travail, idem.

Détester celui qui te déteste, faire la querelle à celui qui ne veut même pas te voire, montrer la haine ou le mépris à celui qui ne veut même pas t’entendre parler, est-ce une veritable ténèbres.  Certains êtres humains contrent injustement leurs prochains, sans pourtant savoir leurs positions assises sur la sagesse ou les manques de possibilités. L’essentiel, c’est bien vivre avec décence, justice et innocence avec tous les prochains. Sinon, l’on se glorifie de sa mauvaise qualité, tu te rencontreras avec des prochains les plus purs et terribles.

Demander l’avis de l’ensemble avant d’agir pour une certaine prise de décision, est-ce une meilleur de consulter ou de conjurer les mauvais sorts. Quoique le cultivateur ne doive pas attendre l’ordre des gens avant de procéder aux récoltes de son propre champ, mais les opinions ou les avis d’un ensemble, surtout des personnes innocentes, permettra aux discernements. Mais, pour connaître son prochain, ne cherche les avis ou les conseils des ennemis injustes de ce dernier.

Etre dans une équipe de travail, ou dans une vie d’ensemble, ne faut-il pas accepter que les collaborateurs ou l’un des associés se manifeste très mal contre un prochain. Ainsi, ne faut-il se taire devant les exactions ou les mauvaises conduites d’un associé contre le monde d’extérieur ; sinon, au cas contraire, ses péchés nuiront à l’ensemble.

De fois, faut-il demander tout conseil, tout jugement ou toutes suggestions par rapport à ce que l’on fait, nos différentes actions ou toutes autres conduites. Faut-il se situer quant à sa situation bonne ou mauvaise, pour s’esquiver de toutes mésaventures sociales ou spirituelles.

Faut-il  pouvoir lier les informations que l’on a entendu et par rapport à ce que l’on vit ou aperçoit sous nos yeux. Mais, tellement qu’il y a des personnes fautives aujourd’hui, qu’on préfère, au reste, ce que l’on entend au dépend de ce que l’on aperçoit très évident sous aux yeux.  C’est une forte culpabilité. A savoir, ce que l’on a appris sur une personne  ne doit-il être préférable par rapport à ce qu’on l’on aperçoit justement sur elle, pourtant sources de jugement explicites.

Les connaissances ou les unions qui n’ont pas de longévités, s’accompagnent souvent des actions pervers, souvent source de dislocation ou de crise de confiance. Mais, les approchements rigides  se manifestent le plus souvent sur tout veritable itineraire innocent, non plus sanctionné des actions inhumaines ou inadmissibles ou inacceptables.

IL n’y a pas de façon de se rendre mystique, ou une personne de grande attraction, que de s’activer des actions nobles, dignes et superieurs devant les gens, et non plus s’acoquiner aux pratiques de bassesses. L’irritation ou l’éloignement injuste n’en peut rien, sinon que se rendre de bonne qualité et être efficace dans sa fonction et dans son travail. IL s’avère difficile qu’un pratiquant des choses abominables ou de bassesse ou ignobles bénéficient de ces emprises.

Comparer des choses ou des situations qui s’avèrent être suffisamment incomparables, qui ne se ressemblent, au reste, ni en forme, en début, en cause et ni raison d’existence et de conduites, n’est pas une meilleur manière de trouver la verité. Ne tenir compte seulement de la fumée, et non le feu, n’est pas une veritable application digne humaine. Pourtant, certains effets s’avèrent si bien être indépendants à ces débuts ou ces causes de départ.

Il n’y a pas une cause ou une raison de secours pour une liaison injuste au monde du mal, sinon qu’involontaire, car toutes actions ou conduites horribles s’accompagnent des censures, des réprimandes ou des critiques à la part des innocents, qu’en fin sanctionnées des mauvais sorts. Pourtant, d’aucuns pavanent sur des fausses raisons ou des prétextes pour se noyer dans les pratiques abominables.

Des circonstances ou des situations sombres doivent inoculer des issues ou des leçons importantes. Pourtant, les gens ne profitent pas des situations ou des conduites infâmes des prochains pour se nantir de bonnes orientations ou de meilleurs solutions quant aux défis sociaux et spirituels. Les mauvaises manières des prochains, serviront de veritables leçons aux victimes.

Faut-il respecter, ou accorder de vénération ou de soumission à la personne qui le mérite. Se soumettre ou respecter son prochain n’est pas une faiblesse, et non une réduction. Faut-il accepter la grandeur, place,  la valeur, les qualités décentes et les prouesses des prochains, en leur accordant toute considération et soumission, et ce, quoique l’on soit de sa part supérieur. Certaines personnes se comportent très mal avec leurs prochains, avec un certain manque ténébreux de sagesse et de conscience. On ne dit pas que, si l’on est capable de quelque chose, ou que l’on est riche,  que l’on ne doit plus respecter les prochains. Et, voire, si tel était ainsi, moi je ne devrais pas respecter un être humain aujourd’hui sur cette terre. Mais, je vis comme les autres, sans aucune différence, et j’accorde du respect aux gens, à tout le monde, surtout à ceux   qui le méritent. Pourtant, malgré tout, si n’était pas ces temps pervers,  je mérite être classé parmi ces principaux guides des êtres humains de cette existence terrestre, comme pareil à  Adam, Noé, Abraham, Moise, Jésus et Mohamed : ces maîtres et ces guides principaux des créatures humaines. Certes, Dieu a crée les êtres humains, et a confié leurs sorts et destinées terrestres à ces êtres humains cités, ces grands Prophètes et Messagers. Pourtant, je ne trouve pas un être humain avoir agi si indépendamment ainsi à ma manière, surtout de m’avoir rendu moi-même un envoyé de Dieu ou un Messagers de Dieu sur terre, comme le plus savant parmi tous les êtres humains, avec ces multiples découvertes des verités cachés de l’univers ou de l’inconnaissable des cieux et des cieux. Il ne sert à rien de se prendre inutilement aux gens, l’être humain qui va à la selle, qui mange, qui dort et meurt. La vie innocente, est celle menée dignement et consciemment, avec une certaine responsabilité et discernement. Se contenter du mal, ne pas avoir la honte de la sexualité, vivre sans conscience, mentalité et moralité abjecte, croire que le monde est réduit aux pratiques infâmes, c’est le veritable échec social, dont la sortie sera fatalement l’enfe

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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