La décision de fermer les clubs de nuits pour raison de covid suite à une décision présidentielle est en vigueur à Labé même si des contrevenants viennent saquer la mesure.
Si le préfet Safioulahi Bah n’a pas nié qu’il y a des incartades au niveau de certains promoteurs de maquis et autres débits de boissons, l’autorité n’est toutefois pas léthargique sur la question à en croire à l’héritier des Boubhandyan:
<<…Je me rends compte qu’il y a des maquis, des boîtes de nuit qui ne respectent pas le communiqué du président de la république.
Tout récemment nous avons été appelé pour nous dire qu’il y a un maquis qui fonctionne et est plein de gens, nous avons envoyé la police pour fermer le maquis et arrêter l’animateur qui va être traduit certainement en justice…>>
Le préfet de Labé a rappelé qu’il est du rôle de la commune de protéger ses citoyens et les responsables de secteurs et de quartiers doivent y travailler et remonter les infos quand ils ne peuvent agir.
Ousmane K. Tounkara