
Incendie du siège ‘’ad hoc ‘’de la CEPI, le président de l’entité parle des pertes subies
Après le Tribunal de première instance incendiée aux premières heures de la résistance active à la mi-janvier, tour au siège de la préfecture d’être la cible d’un ou de pyromane.s encore non identifié.
Peu après le crépuscule, Mercredi des flammes ont léché le local affecté à la CEPI qui fuyaient les menaces citoyennes lors des opérations de révision.
Sur le bilan à chaud, le président de la CEPI nous a dit ce qu’il suit :
« Nous avons perdu tout le matériel informatique, des documents administratifs tel que le découpage et la composition de certains bureaux de vote. »
Sur la question de cet incendie, le préfet qui est celui qui a prêté un local à la CEPI a aussi fait son bilan :
« Dans ce local, il y avait le reste des cartes électorales et des documents de travail dans ce bureau et des t-shirts des membres des bureaux de vote… ».
Avec la pagaille et la peur liées à la distribution des cartes bien de citoyens avaient fait le deuil de leur pièce mais avec cet incendie et l’appel du député de la ville de s’en prendre au matériel électoral, ce risque devient encore plus grand et certain a précisé Elhadj Lamine Sangaré qui s’apprêtait à remonter un rapport circonstancié à sa hiérarchie.
Depuis l’incendie de la veille les forces de l’ordre nt renforcé la vigilance sur les lieux et montent le guet dans tout le pourtour du siège de la préfecture.
Ousmane K. Tounkara
(Ambien)