
MaM (Migrants as Messengers) en collaboration avec l’organisation guinéenne pour la lutte contre la migration irrégulière ont célébré la journée internationale des migrants ce vendredi 18décembre 2020, dans lenceite d’une université de la place à Conakry.
Dans son discours , le président de l’organisation guinéenne pour la lutte contre la migration irrégulière Elhadj Mohamed Diallo, a précisé que :<<Nous devons nous engager collectivement et individuellement pour combattre ce phénomène de migration irrégulière qui tue actuellement de nombreux jeunes. Il faut surtout penser à respecter la liberté et la dignité des migrants partout où ils se trouvent.
La journée internationale n’est pas l’engagement d’une seule personne, c’est l’engagement de tout un chacun ni l’engagement d’une seule journée. C’est l’engagement de tout temps, a chaque moment pour permettre à tout le monde de fêter la journée internationale>>.
D’après lui, ils sont préoccupés par l’accroissement continu du phénomène migratoire, il y’en à qui sont conscients qu’il faut agir, agir encore parce que ça touche à des milliers de jeunes à rappeler le président de l’organisation.
Il s’est réjoui de constater qu’aujourd’hui qu’il y a des pays qui ont ratifié :<< le pacte mondial de la migration , qui prône des partenariats multipartisme pour que la question de la migration irrégulière soit traitée dans tous ses aspects en regroupant les universitaires, les diasporas, les parlementaires et communautés locales>>, explique t-il.
Devant les partenaires techniques et financier, la chef de mission de l’OIM en Guinée, Fatou n’daye , a fait savoir que le thème de la célébration internationale des migrants de cette année est :<< repenser la mobilité humaine >>, par ce que cette mobilité concerne toutes les personnes qui bougent aujourd’hui dans ce monde.
Selon elle, les migrants souffrent pendant cette période de COVID-19. Le non-accès aux services sanitaire et surtout leurs stigmatisation.Certains pensent même que partout ils peuvent transmettre le COVID-19.
Abordant cette même question » Au-delà de ses éléments, il faut continuer la sensibilisation cette fois-ci sur l’impact positif sur la communauté pour avoir réussi la migration comme un moyen de réussite l’application de façon irrégulière. En Afrique la migration était culturelle,
C’est pourquoi cette année, c’est de traiter cette idée. De n’est pas se focaliser sur l’aspect économique et social seulement. Mais, aller au plus profond au niveau culturelle. En faisant une étude anthropologiques pour mieux comprendre >>, explique le chef de mission OIM en Guinée.
Zeze Enema Guilavogui pour aminata.com
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